Bonjour Stéphane, j’aurais besoin d’un conseil pour le choix d’un de vos séminaires… Je suis une femme de 46 ans, mère d’un adulescent de 25 qui me rejette. Oui, mon ado me rejette, et parfois même j’ai l’impression que mon fils me déteste. Je fais le choix (audacieux ?) d’offrir à mon fils un de vos contenus dans le but de lui donner certaines clés pour lui permettre de régler tous les problèmes qu’il rencontre dans sa vie. Mais par lequel commencer ?

Mon ado me rejette, comment l’aider

Actuellement, il a des problèmes dans l’entreprise qui l’embauche : sentiment d’injustice, de non reconnaissance en plus de ne pas approuver le management sur les choix d’embauche ponctuelle de personnel… Bref, la balance avantages inconvénients de ce job penche du mauvais côté ; ce qui le mine et je l’ai même cru proche d’un burn out cet été…

Mon fils est immature

J’aimerais lui montrer la façon dont il prend les choses, son approche du problème trop bornée et assez immature (à mon sens), mais… je suis sa mère. Mon rôle (c’est celui que je me suis donné, en tout cas) étant certes de lui apprendre à bien s’entourer, mais surtout de lui apprendre l’ autonomie, je ne peux lui dire certaines choses, justement de par cette posture. Le problème c’ est que je le considère comme ayant un comportement d’enfant et comme je soupçonne une énième discussion se terminer par une colère ou du moins un blocage de sa part… Bref, mon ado me rejette toujours mais je compte procéder différemment cette fois-ci.

Mon fils refuse un psy

Il y a bien 3 ans de cela, je lui ai proposé un rdv, j’avais des choses à lui dire face à un comportement de sa part que je jugeais irrespectueux (exemple : non-réponse aux demandes de nouvelles, répondre aux sms quand ça l’arrange…) et pas seulement avec moi ; avec son père, sa grand-mère, toute la famille en tout cas (pas avec ses amis, du moins selon ses dires)

Je ne supporte pas l’attitude de mon fils

En parlant de famille, les autres concernés ne lui reprochent rien, même s’ils n’approuvent pas, ils acceptent cette attitude ; moi, pas ! Encore une fois parce que je suis sa mère, je ne peux le laisser agir ainsi sans lui rappeler quelle éducation il a reçu. Je lui ai donc clairement signifié que cette relation mère-fils ne me convenait pas, et l’invitais à réfléchir aux raisons qui pourraient justifier que l’on ne daigne pas répondre à des proches qui prennent de vos nouvelles ou préservent le lien.

Il a par ailleurs compris que j’étais prête à ne plus le voir s’il continuait à imposer ce sens unique, et je lui ai bien fait comprendre que ce n’est pas parce que je suis sa mère que je tolérerais tout, au nom d’une pseudo « tolérance maternelle obligatoire ».

Mon fils est en danger, je me DOIS de l’aider

Par ailleurs, je me suis permise d’intervenir quand je l’ai senti en danger (çà ne reste que mon avis). Pour faire vite, j’ai appelé son père et nous avons entrepris de l’emmener à l’hôpital (car il ne voulait pas aller consulter un psy ) quand il avait une vingtaine d’années au bout d’une longue période où il déprimait à ne pas savoir quoi faire, hygiène de vie déplorable et il se droguait. Je souhaitais savoir s’il avait des tendances suicidaires et les psys m’ont rassurés à ce niveau.

Pour moi, notre rôle de parents s’arrêtait là : ne pas le laisser en danger sans rien faire, tout en sachant que s’il faisait cela, il avait ses raisons et nous ne pouvions nous immiscer plus dans son histoire. Apparemment, ça à quand même eu des conséquences assez positives chez lui, il a entrepris une formation et travaille depuis. Sa vie sentimentale est assez chaotique pour faire court.

Je me trouve donc devant un dilemme pour vos séminaires :

  • Soit je me dirige vers L’enfer du salariat pour qu’il tente de démêler cette problématique précise
  • Soit je me dirige vers une approche plus générale Le côté obscur de H afin de mieux se connaître.

Je devine que d’acheter les 2 serait plus complet, mais ma limite de budget sera atteinte…

Question importante : est-ce une vraie ou une fausse bonne idée, qu’une mère offre des séminaires de développement personnel à son fils ? Ne faudrait-il pas que la démarche vienne de lui, surtout avec ma volonté de le rendre autonome ? Je vois d’une façon assez différente cette idée ; que le cas d’une mère insistant lourdement pour que son fils consulte un psy ( ce que j’ai déjà fait). Ou bien me serais-je trouvé une tactique de diversion… qui reviendrait en fait au même ? Juste pour avoir à compenser un sentiment d’impuissance et ainsi, ne pas avoir à me confronter à devoir l’accepter ? Merci pour votre éclaircissement Bonne journée

Stéphanie


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