Aborder une fille

Aborder une fille : vos 3 réflexes

Historiquement, de nombreux témoignages qu’aborder une fille en France (dans un lieu public, à une exposition, voire dans la rue) était non seulement possible, mais parfois aussi relativement simple. Un peu d’aisance un peu de prestance et de répartie, il était rare de se voir totalement ignoré, voir insulté d’un blâme silencieux. Mais voilà, comme dit la publicité : bienvenue dans un monde qui change. Aujourd’hui des millions d’hommes le trouvent si difficile qu’ils nous demandent où rencontrer des femmes. Qu’est-ce qui a changé ? Pourquoi aborder une fille est-il devenu si complexe au XXième siècle, au point de terroriser les hommes et même les moins timides d’entre eux ?

La réponse tient en une simple loi économique : le rapport offre VS demande

Abordages sauvages : trop de demandes tuent l’offre

D’exceptionnel, aborder une fille est devenu occasionnel, puis désormais habituel. La vague des coachs en séduction n’y est sans doute pas étrangère, trop heureux qu’ils étaient de pouvoir vendre à tour de bras des techniques de drague censées « allonger » immédiatement la « cible », surtout si celle-ci était un peu étrangère, esseulée et vulnérable. Mais tomber pourquoi ? Dans quel but ? Et pour combien de temps ?

Ici nous défendons avant-tout des idées et une idéologie

  • OUI, savoir aborder une fille, quand celle-ci sort du lot et lui plaît vraiment singulièrement, doit faire partie des « cordes » à l’arc d’un homme digne de ce nom. Un type prostré dans une solitude subie et incapable de briser la glace est dépourvu de tout attrait social et condamné à finir seul avec son chien,
  • NON, aborder une femme n’est pas un loisir du dimanche, que l’on sort pratiquer à heures fixes sur les boulevards comme s’il s’agissait d’un sport ou d’une compétition.

Il est permis d’aborder une femme, oui, mais

On n’aborde une femme que lorsque l’occasion s’y prête… et qu’elle se prête au jeu

À ce sujet, 3 rappels :

  1. Le premier est une évidence à se rappeler sans cesse
  2. Le second consiste à dédramatiser au nom de la réalité
  3. Le troisième va vous rappeler quelque chose que vous avez oublié

Le premier abordage de la journée est toujours mauvais

N’étant pas fumeur, j’ignore complètement si la première cigarette de la journée est la pire ou bien la meilleure. Cependant, je sais que, pendant la nuit, le muscle social s’endort complètement… et qu’il est long à remettre en route le matin.

J’espère donc sincèrement pour vous que la première fille qui vous plaira ne se trouvera pas juste derrière la porte d’entrée de votre immeuble en sortant de chez vous (exemple vécu) : ce serait bien le pire moment / endroit possible pour aborder cette fille et avoir de la répartie, partant du principe que vous êtes « socialement vierge » (ne vous vexez pas) du jour. Je veux simplement dire par là que vous  n’avez encore parlé à personne.

Le premier abordage de la journée est toujours très peu naturel, autant qu’il ait lieu avec des collègues de bureau ou autres personnes sans importance.

Bref, dans tous les cas : évitez d’aborder une femme à froid, c’est toujours :

  • très dur,
  • très peu gratifiant pour vous,
  • et un peu étrange pour elle.

Le matin, faites des pompes et des abdos si vous voulez, mais surtout dérouillez votre muscle social.

L’abordage parfait n’existe pas

Quand on n’aborde des inconnues que rarement, on vit dans l’illusion que « ceux qui savent » réalisent des abordages diaboliquement parfaits. Comme dans la plupart des films, à vrai dire.

Faux, faux et archi-faux.

Dans la réalité, tout abordage a sa part de maladresse, de gêne (pas trop quand même, n’exagérez pas) et de silence plus ou moins incontournable. Prenez l’habitude de tendre l’oreille autour de vous et vous serez surpris de la banalité des conversations entre inconnus.

Après tout, aborder une fille, c’est être normal sans être banal.

Quand on aborde une fille, elle oublie 30 secondes après…

… les mots avec lesquels vous l’avez abordée.

Le débutant, le timide & le novice font tous le même rêve. Ou peut-être devrais-je l’appeler un cauchemar : ils pensent, en essuyant un refus, inscrire leur nom, leur prénom, leur adresse et l’intégralité de leur état civil dans une sorte de « liste noire », de « casier judiciaire » des dragueurs, qu’une autorité supérieure leur mettra fatalement devant le nez un jour en les narguant :

Vous avez abordé cette fille le 14 novembre 2017 en lui proposant votre parapluie, nous avons les preuves, qu’avez-vous à dire pour vous défendre ?

La réalité est que nulle autorité de la sorte n’existe, que personne ne vous juge, et que la fille abordée elle-même ne garde aucun souvenir des premiers mots que vous lui avez adressés ! Soit vous lui plaisez, auquel cas elle nage dans la sensation floue qu’est le bonheur et elle perd la trace exacte de ce qui est en train de se passer. Soit c’est l’option inverse et deux minutes plus tard elle vous a rayé de sa mémoire. Elle ne vous reconnaîtrait même plus le soir même.

Les gens y pensent et puis oublient. C’est la vie, c’est la vie, c’est la vie.

C’était nos 3 réflexes à ne jamais oublier avant d’aborder une fille. Poursuivez la lecture de notre site, il contient des centaines de conseils séduction mais pas seulement : aussi tout le nécessaire pour devenir un homme différent, stylé et intéressant. Une meilleure version de vous-même.

Stéphane

9 commentaires

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  • Ce sont des Putains vénales qui couchent avec les arabes & les noirs (musulmans de preference)

  • une infirmiere vient tout les jours en fin d’apres midi pour me donner mon traitement et je suis tombé amoureux comment lui dire

  • Salut et Merci pour le super partage. J’apprécie là qualité du contenu . On ressent la quantité de travail et la passion que vous y mettez.
    J’ai déjà une idée sur cette méthode et je la trouve bien https://bit.ly/3gwKLKU
    Pensez vous que votre méthode pourrait m’aider encore plus ?

  • …bravos et chapeau bas vous êtes dans le vrais le bon sens et l »éducatif monsieur EDOUARD je vous pensais psycho/RIGOLOGUE JE VOUS SAIT SOCIOLOGUE