Les gens qui ont confiance en eux partagent le même secret…



Avoir confiance en soi, c’est dans la tête. S’il l’on devait identifier un seul problème, une seule pathologie, un seul élément à la source de tous nos problèmes comme de leur solution, c’est ce qui se passe dans votre tête. En matière de rencontres, de look, au travail comme dans la vie de tous les jours:

Tout se passe d’abord dans la tête 

Avoir confiance en soi est une nécessité

Parce que personne n’ira faire les choses à votre place

Chacun n’a pas sa vérité. Il n’existe pas plusieurs façons d’être logique. Personne ne peut se vanter d’avoir une logique transcendantale et universelle.  La vérité et la logique, elles, ne répondent ni au temps ni aux personnes. Elles existent pour qui peuvent, mais surtout veulent, les voir. Personne ne peut faire ce choix à votre place. Personne ne peut porter vos vêtements à votre place, personne n’ira travailler à votre place, personne n’ira faire des rencontres pour vous.

Astuce confiance en soi, #1 : personne ne le fera à votre place

C’est à vous de faire  le boulot

C’est à vous, et à vous seul, de vous engager. De faire le choix de prendre la pilule rouge et de sortir de la matrice. De prendre du recul. De changer de point de vue. De vous débarrasser de vos croyances futiles et inutiles pour enfin aller chercher la vérité. Bien évidemment, ça ne sera pas facile. Mais il faut rendre à l’évidence ce qui lui appartient, ces gens là se mentent à eux-mêmes, et vous mentent par la même occasion, tout simplement parce qu’ils ne savent pas. Aujourd’hui, vous avez le choix.

  1. « Prendre la pilule bleue », fermer cette page Internet, « et tout s’arrête. Après vous pourrez continuer de dormir en croyant ce que vous voulez ».
  2. Avec la pilule rouge, « on descend avec le lapin blanc au fond du gouffre », et, plus techniquement, jusqu’en bas de cette page web.

Astuce confiance en soi, #2 : aimer la difficulté

Je ne suis pas venu vous dire comment ça finit…

… je suis venu vous dire comment ça va commencer

Vous venez de passer avec succès la première étape. Félicitations. Vous avez choisi de vous prendre en main, de voir la réalité en face, de l’accepter, et d’en faire ce que vous vouliez. Maintenant, prenez conscience que votre chemin ne fait que commencer. La première des choses que vous devez intégrer, c’est qu’il y a une grande différence entre connaître le chemin, et arpenter le chemin.

Posez-vous les bonnes questions

Mais avant toute chose, avant de vous engager sur un chemin qui n’est pas le vôtre, avant de faire le mauvais choix. Poser vous la bonne question. Que voulez-vous réellement ? À quoi voulez-vous ressembler ? Quelle image voulez-vous donner aux autres ? Quelle croyance allez-vous faire naître chez vos interlocuteurs en leur parlant ou en les laissant vous regarder ?Qui êtes-vous et que voulez-vous être ?

Astuce confiance en soi, #3 : garder en tête l’image de celui/celle que vous voulez être, et vous comporter de sorte à ne pas lui faire honte

La réponse à cette question, c’est le fil rouge à ne jamais lâcher. C’est le moteur qui va vous permettre d’avancer. C’est la règle qui conditionnera vos choix et votre volonté d’avancer aujourd’hui avec la même cohérence que dans dix ans, dans vingt ans, dans trente ans, et jusqu’à une période suffisamment longue pour que votre espérance de vie tombe irrémédiablement à zéro.

On n’est jamais trop vieux (ni trop jeune) pour reprendre confiance en soi

Dites vous également que vous n’êtes pas trop jeune, ni trop vieux, ni pas assez, ni l’inverse. Vos rêves, peu importe quand ils naissent, tant que vous ne les perdez pas de vu tout au long de votre vie.

« La Sagesse, c’est d’avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu’on les poursuit. » [Oscar Wilde].

Accomplir ses rêves, finalement, c’est ce qu’il y a de plus terre à terre sur terre. Et si les autres pensent, ont envie de penser, préfèrent simplement se rassurer à penser, ou les trois, que vous vivez dans l’erreur, alors laissez les y croire. Aidez les à y croire. Et peu importe ce qu’ils croient savoir, si vous savez.

Astuce confiance en soi, #4 : toujours vous efforcer de croire en vous, même quand c’est difficile

On ne peut que vous montrer la porte

mais c’est à vous qu’il appartient de la franchir

Alors comment être sûr d’avoir fait le bon choix ?

La réponse est aussi compliquée qu’évidente, et vous seul la possédez. Encore une fois, tout ce que l’on peut faire, c’est vous montrer la marche à suivre. Allez chercher en vous ce que vous êtes vraiment. Vous sortir du gouffre pour vous ouvrir les yeux, mais c’est à vous de regarder.

Splyner


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15 commentaires

  • On est toujours sur SpikeSeduction, ici, ou vient-on de créer sans m’en avertir un conglomérat de Doctissimo et de SkyBlog ??? Ces irrespectueuses joutes d’insultes mâtinées de masturbation intellectuelles (foulant au pied par endroits la langue française) n’est en rien dans l’esprit de qualité, de densité d’informations claires et concises, de classe et de style véhiculé par ce site.

  • Je suis consterné. J’avais choisi de ne pas répondre à toutes les idioties frôlant les profondeurs abyssales que vous m’avez sorti les uns après les autres. Mais le remord de vous laisser dans l’ignorance m’a envahi à la vue des images de vos semblables qui sévissent sur France 3 ce soir. C’est donc davantage pour soulager ma conscience que pour tenter de nourrir votre intelligence défraîchie ou encore pour vous mettre K.O, que je m’engage dans ce dernier round.

    @Asles : Tout d’abord, je te suggère de ne pas trop t’avancer sur les qualités d’humilité et de simplicité de la ménagère de moins de 50 ans. Je ne vois là que deux possibilités à cette erreur d’appréciation, soit tu ne sais pas ce que ces mots veulent dire, soit tu es encore plus naïf que ce que je pensais. Dans tous les cas, la ménagère de moins de 50 ans est aussi humble et simple qu’elle est intelligente. Ce qui va sans dire, c’est qu’elle ne l’est pas.

    Pour le reste, tu as parfaitement le droit de penser par toi-même. Mais ça n’empêche que tu penses n’importe quoi et n’importe comment. Un peu de lecture ne servirait donc qu’à te guider pour mieux avancer.

    Cela dit. Je viens seulement de me rendre compte que je perds définitivement mon temps avec toi. Tu l’as dit toi-même, tu es un scientifique. Tu ne comprendras donc jamais rien à ce que j’essai de t’expliquer. Et même si tu comprenais, étant scientifique, tu ne l’accepterais pas parce que cela remet en cause la base même de tout ton travail. Mon ultime conseil te concernant sera donc de fermer cette page web et d’arrêter de te faire mal à la tête pour rien.

    Mais comme je suis entré dans un piège abscons en commençant à répondre, je vais continuer, en coupant malgré tout les passages les plus nuls. Bon, c’est vrai, j’aurai pu tout enlever, mais il fallait bien en garder un minimum pour te répondre.

    « Et il en va de même pour les êtres humain »

    De quel droit ? Où est le lien qui te permet de lier ton exemple scientifique (qui n’est qu’un exemple que tu tentes d’élever en règle sans aucune justification ni démonstration par ailleurs, un vrai travail de scientifique…) aux êtres humains ? Nulle part. Rien ne justifie cette corrélation. Par conséquent ton argument est nul.

    Tu tentes de créer un savoir illusoire à partir de rien en faisant des liens vides pour n’aboutir qu’à des croyances absurdes.

    Non seulement ton exemple ne sert à rien, il n’illustre qu’une réalité et non la vérité, si temps est qu’il soit exacte, mais je te laisse le bénéfice du doute, je n’irai pas vérifier, et je m’en moque. Mais en plus, tu essais de le transposer maladroitement aux êtres humains en croyant que ça suffira comme justification. Mais non ça ne suffit pas, loin de là, d’autant que ton exemple d’origine ne vaut rien, je ne te ferai pas l’affront de te décrire ce à quoi ressemble le résultat final de ta pensée solitaire.

    « je préfère me fier à ce que j’observe et à ce que je comprends plutôt qu’à ce que disent les uns et les autres. »

    Enfin quelque chose de sensé. Enfin au moins pour la seconde partie. Je suis d’accord avec toi, ne te fie qu’à ce que tu comprends, pour le reste, n’essai jamais, mais au grand jamais, de comprendre…

    Ha tiens. Je viens d’ailleurs de voir quelque chose d’autre que tu n’as pas compris.

    « Rien n’est plus faux que de penser que l’amélioration de soi est le but ultime de la vie. »

    Désolé de t’apprendre que je n’ai jamais dit ça, ce n’est qu’un moyen et non une fin, relis la fin du texte. Bon j’avoue, ici rien à comprendre en plus, il n’y a qu’à savoir lire. Bon ok, c’est un fait, c’est beaucoup pour un scientifique, mais quand même…

    « une valeur constante donc FIGEE »

    Là tu atteins le summum du cliché du scientifique. Qui a dit que la perfection (valeur constante selon toi) est quelque chose de figé ? Tu n’as peut-être pas du te rendre compte que, par essence, tout comme l’est l’idée de l’infini, la perfection n’a pas de limite. Ainsi, ce n’est pas une valeur constante, mais variable, et non figée. Elle évolue, mais porte toujours le même nom, rien de plus, rien de moins.

    Bon ensuite je passe sur le fait que tu accordes bien trop de valeur à l’être humain, il n’a rien d’imprévisible, bien au contraire, et pour ce qui est des sectes, je te renvois à tes collègues scientifiques ;)

    Malgré tout, je suis étonné mais pas surpris de tombé d’accord avec toi sur le but qui est sensé être commun à tous les humains, mais force est de constater que les moyens mis en œuvre ne sont jamais les mêmes…

    @Tantra : C’est vrai que l’accent est mis sur l’image que l’on va renvoyer aux autres de soi-même. Mais pour recentrer les choses, ce n’est qu’un élément de la progression, il faut avant tout se connaître soit même, savoir ce que l’on veut, ce que l’on veut faire, ce dont on a vraiment envie pour revenir à tes propos, et, par extension, l’image que l’on veut donner aux autres.

    Finalement, comme pour Asles, nous disons la même chose mais pas de la même façon.

    Je parle de visualiser l’objectif (être) et de se donner les moyens d’y arriver (faire) alors que tu parles de faire et, se faisant, d’être.

    La planification a malgré tout l’avantage de cadrer les choses et de savoir, et faire savoir, là où on va. Même si ça n’empêche pas un peu d’imprévu pimenté de temps à autre, pour le fun comme dirait l’autre.

    Par contre, tu as tord sur ta définition de la vérité. Je ne la confonds absolument pas avec la réalité, même si les deux sont intimement liés.

    Il y a simplement la vérité, et le reste. La vérité existe par delà le temps et l’espace. Elle est dans l’air comme un secret. Il y a ceux qui savent, et ceux qui l’ignorent. Certains peuvent croire, donner leur version, mais au final, ils entrent dans la catégorie de ceux qui ne savent pas.

    La réalité, on peut la constater, l’expérimenter scientifiquement et tenter d’en tirer la vérité. Mais rien n’indique qu’il est possible d’aller de l’un à l’autre de manière irréfutable.

    En tous les cas, pour ce qui est de la réalité comme de la vérité, je n’attends absolument pas d’en apprendre plus de la part d’un scientifique. Quand bien même j’admire leur immense travail pour l’exploration de l’espace par exemple, il apparaît qu’au final leurs travaux ont déjà fait, font et feront plus de mal que de bien à l’humanité ou à la vie en général.

    Pour ce qui est de l’énergie, du bonheur et du plaisir, je suis d’accord avec toi.

    @LeaderPrice : Alors là avec toi, c’est du lourd, du très lourd. Je vois beaucoup de bavardages et très peu d’idées qui peuvent servir d’argument mais soit.

    « cela sous-entend agir en fonction d’eux et non pas en fonction de soi. »

    Et si on disait inter-agir ? ça te plait mieux ? équilibrer l’action en fonction de soi et des autres. C’est mentir que prétendre tout faire en fonction de soi uniquement. On vit avec autrui, nous avons besoin de lui, il est donc évident de s’y adapter et/ou de l’adapter à soi-même.

    « A priori, pour être digne de l’amour des autres et/ou l’amour de soi. »

    Oui alors là je pense que nous avons affaire à une idée pas cher. Allez, pourquoi pas si ça te fait plaisir.

    Une autre pour la route ?

    « Mais l’amour ne se mérite pas! »

    c’est tellement beau ce que tu dis…

    « Il ne faut pas confondre confiance en soi et orgueil. L’orgueil est une fausse confiance en soi basée sur ce que l’on vaut, alors que la « véritable » confiance en soi est basée sur ce que l’on est. Si tu axes ton développement personnel sur la mesure de ta valeur, »

    Raisonnement absurde basé sur une définition inexacte de l’orgueil, la valeur et l’être je n’en parlerai même pas. Ça devait être une promotion sur la plus grosse idée/connerie du jour non ? Fais gaff tu vas finir par perdre toute ta marge…

    Ce qui aboutie à une conclusion tout aussi fausse : « il n’est pas étonnant que tu fasses de l’amélioration/la progression le but ultime de ta vie. »

    Relis ce que j’ai écris plus haut, j’ai déjà répondu à cette question.

    Ha mais que vois-je, un gros prix chez leaderprice ! Soit, de manière moins imagée, quelque chose qui ressemble à une idée correcte…

    Le passage sur le fight club m’a beaucoup intéressé. Mais il faut remettre les éléments dans leur contexte. La phrase prononcée par Tyler dans un bar au cours d’une discussion sur la vie avec Cornélius, pour ne citer qu’un seul de ses surnoms.

    Celui ci vient de voir brûler son appartement alors qu’il allait pratiquement être « aussi complet que possible ». Il avait sans aucun doute dévalisé tous les magasins Ikea des states.
    Tous ses meubles ont donc été détruit mais Cornélius se rassure en disant que son assurance va sans doute tout lui rembourser. Et, à ce moment, Tyler dit que les choses que l’on possède
    finissent par nous posséder.

    La conclusion que tu fais de cette discussion est que j’ai « peur » de régresser, que je cherche à me rassurer et que je « fonce dans un mur ».

    Alors laisse moi te dire que tu as failli avoir raison, mais qu’en fait tu as tord.

    Il n’est pas interdit de s’attacher à quoi que ce soit. Ni même d’avoir peur de perdre quelque chose, ou encore de régresser. Cela fait parti des règles de la vie. Ce qu’il faut, c’est savoir accepter de régresser, accepter de se remettre en question
    pour continuer de progresser. Ne pas avoir trop peur de perdre nos meubles, ou des choses ou personnes qui nous sont chers, mais savoir et accepter que cela peut arriver. En s’y préparant, on se libère de cette dépense parce que l’on a réellement conscience des choses.

    Et avant de foncer dans le mur, il faut simplement se trouver de nouveaux objectifs, avoir de nouvelles envies, de nouveaux projets, se renouveler, se remettre en question, comme dans un cycle, sans arrêt. Ce qui implique donc que cet objectif n’est pas figé contrairement à ce que continue de marteler bêtement Asles.

    Finalement, tu as failli avoir une bonne idée. Peut-être que les restrictions budgétaires chez leaderprice t’ont empêché d’avoir suffisamment de liquidité pour tes achats d’idées ?…

    En tout cas j’espère, parce que sur la fin de ton message là on touche vraiment le fond. Cela m’a tout ce même fait beaucoup rire.
    Et si vraiment pour toi la volonté de ne pas passer de pommade et de dire les choses telles qu’elles sont reflète mon « malaise intérieur » provoqué par mon « orgueil », alors dit toi que ce
    n’est qu’une de tes croyances stupides qui m’ont l’air nombreuses et cheap.

    Tu as tord mais ce n’est pas grave, tu n’es pas le seul si ça peut te rassurer…

    @Argancel : Tu as raison. Du moins, sur le début de ton message.

    Je me suis déjà posé la question et il est vrai qu’à un mensonge peut suivre un mensonge. Pour l’éviter, il suffit « simplement » de se poser les bonnes questions, afin de trouver les bonnes réponses. Ainsi, on ne tombe pas dans une « autre matrice ».
    La méthode est la même, remise en cause de tout, et de soi-même avant tout.

    Là où tu as tord, c’est que ma « publicité » ne reflète rien du tout. J’écris sur ce site, pour ce site. C’est la moindre des choses. Si j’avais écrit pour dire que c’était de la merde, je le l’aurai pas fait, et n’aurait même pas pris la peine de le lire préalablement. C’est pourquoi tu te trompes sur mon objectif.

    Relis moi. J’ai écrit « si vous devez croire ». Cela implique, il est vrai, d’une certaine manière une forme de publicité. Mais c’est avant tout un conseil pour ceux qui ne savent pas par où commencer. Ceux qui sont paralysés à l’idée de savoir et n’osent même plus croire. Je leur conseil simplement d’essayer avec ce que je considère être le mieux. Je n’ai pas dit que ça répondait à tous les problèmes, j’ai sous entendu que c’était la meilleure façon de commencer à en trouver la solution.

    @ Matt : Le pouvoir de contourner la modération l’est encore plus ;) et je ne suis pas encore assez naïf pour croire que vous ne pouvez pas modérer les commentaires si vous le voulez. =)

  • Donc, vous préférez vous friter sur le site et non sur le forum, pour by-passer la modération… J’en déduis que je vous fait peur, et ce pouvoir m’est délicieux. :-)

  • @Splyner:
    Pour reprendre ta référence au film Matrice, quand les gens se rendent comptent qu’ils vivent dans la matrice grâce à la pilule rouge, qui nous dit qu’il n’y a pas une autre matrice cachée quelquepart? En somme, ce n’est peutêtre pas la vérité ultime. Ca pourrait très bien être un mensonge de plus…

    D’ailleurs ta « publicité » pour le club de spike montre bien que ton objectif est de convaincre les autres d’adopter la réalité du club spike, qui n’est pas forcément la réponse à tous les problèmes.

    @Asles:
    Je comprends tout à fait ce que tu veux dire avec les théories de l’aviation, contrairement à un certain Romain, et j’ai trouvé ça très prenant et rafraichissant.
    Par contre je constate que ton site s’appelle « real world seduction », ce qui contredit remarquablement bien ta propre thèse lol

    @LeaderPrice:
    Peux-tu m’expliquer comment on sait ce que l’on « est » par opposition à ce que l’on « vaut »?
    Tu ne peux savoir ce que tu est qu’en t’observant toi-même. Or ces observations ne seront jamais complètes, ni forcément justes, comme toutes les perceptions.
    Par exemple, tu ne sais pas comment fonctionne exactement ton cerveau, pourtant il fait partie de toi et c’est par lui que tu penses!
    De plus, certaines personnes en savent parfois plus sur nous que nous-même.

  • Si j’ai bien compris, tu expliques tendre vers la perfection, tu cherches à être le meilleur. Mais vouloir être le meilleur induit un classement vis à vis des autres, cela sous-entend agir en fonction d’eux et non pas en fonction de soi. Chercher à être parfait, mais dans quel but ? A priori, pour être digne de l’amour des autres et/ou l’amour de soi. Mais l’amour ne se mérite pas!

    Il ne faut pas confondre confiance en soi et orgueil. L’orgueil est une fausse confiance en soi basée sur ce que l’on vaut, alors que la « véritable » confiance en soi est basée sur ce que l’on est. Si tu axes ton développement personnel sur la mesure de ta valeur, il n’est pas étonnant que tu fasses de l’amélioration/la progression le but ultime de ta vie.

    L’image en page d’accueil de ce site est tirée de Fight Club. Dans ce film extraordinaire, il est dit qu’au bout d’un moment, les objets que vous possédez finissent par vous posséder. Il en est de même avec ton attachement à ta valeur. Cet attachement sert à te rassurer, à flatter ton égo. Mais plus tu « progresses », plus tu augmentes ta valeur, et plus tu es dépendant de cette progression/classement, au point d’en devenir prisonnier (peur de régresser). En clair, l’objectif vers lequel tu tends est un mur.

    Au contraire, si tu apprends à t’accepter et à t’aimer tel que tu es, tu es au dessus de tout cela. Tu ne te soucies plus de ta valeur, ni de l’avis ou du jugement des autres. Et tu ne cherches alors plus à tendre vers un pseudo modèle de perfection qui n’est en fait que l’expression d’autres égos.

    Splyner, la lecture de ton article m’a fait froid dans le dos. Il est très noir et contient des phrases très dures. Il est à mon sens l’expression du malaise intérieur provoqué par ton orgueil. Je te souhaite de trouver la paix intérieur.

    PS: au sujet du fil rouge « Qui êtes-vous et que voulez-vous être ? » : soit toi meme, et tu decouvriras qui tu es!

  • Haaaaaaa Asles,
    Ca fait longtemps que tu n’avait pas posté de message où l’on ne comprend rien.

    Tu dois vraiment pas te prendre pour « n’importe qui » pour esperer accrocher les gens avec ton discours et croire qu’ils le liront jusqu’à la fin.

    L’aeronautique n’interesse que toi. Nous sommes mediocre, donc arrete d’etaler ta science, d’intellectualiser le discours et de faire du troll inutile.

  • De la part de Tantra, qui connaît des problème pour poster le commentaire de chez lui :

    ——————————–

    Messieurs

    Quelques pr√©cisions sur mes commentaires que j’ai r√©dig√© dans un esprit du « clash des ann√©es soixante huit » (c’est √† dire l’opposition provocatrice permettant √† l’autre d’exprimer , ou non et c’est l√† l’int√©r√™t, la v√©ritable nature et la profondeur de son discours.

    Je parle de masturbation d’√©go vis √† vis de ceci:

    « √Ä quoi voulez-vous ressembler ? Quelle image voulez-vous donner aux autres ? Quelle croyance allez-vous faire na√Ætre chez vos interlocuteurs en leur parlant ou en les laissant vous regarder ? Qui √™tes-vous et que voulez-vous √™tre ? »

    J’y vois beaucoup d’observation nombrilistique dans ce processus. J’ai comme l’impression, arr√™tez moi si je me trompe, qu’il y a cr√©ation d’un personnage bas√© uniquement sur la perception des autres. Il est ensuite tr√®s difficile, en tout cas c’est mon avis, d’√™tre congruent, ou m√™me simplement heureux lorsque l’on s’est forg√© une personnalit√© sur ces bases.
    N’oublions pas que nous vivons dans un monde de m√©dia, et que l’attention du « spectateur » est devenu aussi durable qu’un big-mac.
    Tout le monde se lasse de tout, nous vivons dans une soci√©t√© consum√©riste qui nous incite √† changer 4 fois de t√©l√©phones par an et nous devrions croire que l’attention ou la consid√©rations que l’on vous portera durera √©ternellement?

    Essayer « d’√™tre » quelqu’un est pour moi une vaine poursuite qui ne m√®ne qu’√† l’amertume: a mon sens la seule question qui reste valable est: qu’avez vous envie de faire? vraiment envie …

    Imaginez un peu:
    vous avez envie de sauter en parachute, monter une boite qui, tout en sauvant 10 000 vies par an, vous rapporte de quoi ne plus vous soucier des fins de mois. Vous avez envie d’un costume sur mesure (et vous faites appel au patron pour √ßa); vous avez envie de mieux √©changer et communiquer alors vous vous passionnez pour les techniques de com, vous avez toujours d√©sir√© mieux comprendre la philo etc etc
    Vous ne croyez pas qu’apr√®s √ßa vous aurez un lifestyle d’enfer et que vous aurez une √©nergie et un plaisir de vivre largement au dessus de la moyenne?

    Pourtant rien, absolument rien dans ce que je viens d’√©num√©rer ce base sur « √™tre quelqu’un » seulement sur l’envie de faire ou d’exp√©rimenter.

    Le seul moment o√π j’utiliserai le « √™tre » serait dans « √™tre ici et maintenant » propre aux philosophies orientales signifiant, entre autre « ar√™te de vivre dans ta t√™te, vis dans le monde ».

    Donc, pour finir ce paragraphe je dirai « qu’√™tre » est la cons√©quence du « faire » que c’en est la r√©sultante « automatique » de nos actions.

    Deuxi√®me point: je voudrai apporter ma pierre √† la discussion sur la « v√©rit√© ». Il ne faut pas confondre les deux termes v√©rit√© et r√©alit√©.
    La v√©rit√© est subjective et li√©e √† une ad√©quation entre des √©v√®nements et le syst√®me de croyance (morale, religieuse, sociale, etc.) de l’individu. On peut donc penser qu’il y a une v√©rit√© par personne et qu’elle n’est absolu que pour l’individu qui la per√ßoit.
    La r√©alit√© pourrait √™tre le monde tel qu’il est en dehors de toute perception ou conception humaine. cette r√©alit√© serait donc uniquement explicable par des exp√©riences scientifiques √©liminant l’apriori de l’exp√©rimentateur. La physique quantique ayant montr√© que l’observation d’un ph√©nom√®ne modifie ce ph√©nom√®ne on est mal….

    Troisi√®me point pour la r√©ponse √† cette remarque de RR: « Tantra, l’action pour l’action c’est le fait de ceux qui ont le cerveau dans les manches. »
    Il ne s’agit pas d’action pour l’action mais de vivre.
    A la fin d’une journ√©e o√π on a pass√© 4h sur un forum, 2h a lire un livre sur comment socialiser, 1h a regarder sa garde robe, et 2 √† mater la t√©l√©: on a v√©cu quoi?

    Par contre si tu t »es parti faire du surf √† l’aurore, a boss√© sur ton projet d’ONG pendant la matin√©e, fait l’amour √† ta LTR pendant la sieste qui suivait un repas que tu t’es AMUSE √† pr√©parer et que tu es all√© effectivement tester les m√©thodes du livre que tu as lu en terrasse directement sur le field: N’est ce pas plus fameux?

    Il y a une place pour la r√©flexion et l’introspection mais celle ci se doit d’√™tre maitris√©e et volontairement limit√© dans le temps.
    Je vous renvoie pour cela √† la r√®gle de Pareto du 80/20 selon laquelle vous n’avez besoin que de 20 % du temps pour r√©aliser 80% d’une tache et √† la loi de Parkinson selon laquelle une t√¢che grossira en importance et en complexit√© per√ßu √† la mesure du temps allou√© √† sa r√©alisation. Vous connaissez tous la r√®gle des 3 secondes: √ßa fonctionne pareil.

    Ce que je vous invitai à faire dans le précédent post et que je recommande dans celui-ci est de ne pas perdre trop de temps à se demander comment pour finalement ne rien faire.
    Vivez, jouissez, prenez du plaisir à tout ce que vous faite (et faite le avec excellence): tout le reste viens tout seul par la suite.

    L’action n’est pas un question de bras mais plut√¥t d’√©nergie et l’√©nergie est la chose la plus attirante au monde (cf les best off)

    Asta les hommes, et si un de vous veux venir glisser sur les vagues et s’envoler en kite surf qu’il me contacte: l’√©nergie et le plaisir sont communicatifs.

  • La ménagère de moins de 50 ans, a le mérite de la simplicité, et de l’humilité elle au moins.

    Ce n’est pas parce qu’un auteur dit quelque chose que je vais être daccord avec lui. Je pense par moi même et pour moi même et ça fait des années que ça dure.

    Ce que je reproche à ton texte c’est cette tendance à faire penser qu’un stade ultime existe et qu’il est le même pour tous. Je t’ai pris des exemples basiques pour te montrer à quel point ta théorie ne tient pas la route.

    Le scientifique que je suis va donc te répondre. La science travaille à partir de modélisations de phénomènes observés. Or une modélisation n’est qu’une représentation d’une réalité bien précise. Exemple :

    Pour travailler sur des avions supersoniques on utilisera la théorie des ondes de choc (droites ou obliques on s’en fiche ), tandis que sur les avions basiques, les théories classiques de la mécanique des fluides suffisent.

    Quelle différence entre les deux ? Dans le premier cas les paramètres (masse volumique, etc … ) sont fonction du nombre de Mach , dans le deuxième on n’a pas besoin de calculer le nombre de mach, tout marche très bien sans.

    Quand on va maintenant étudier les fusées, ce n’est plus la théorie des ondes de choc ou la mécanique des fluides classiques qui prend le dessus, pour les fusées on utilise la théorie cinétique des gaz et les lois des écoulements en milieux a gaz rarefiés.

    Comme tu peux le constater, chaque théorie avancée a un rayon de vérité bien précis , et se contente d’y rester sagement. Ce qui est vrai pour certaines théories (comme le théorème de Bernouilli pour les fluides ) est faux ailleurs (du moins sous la forme la plus répandue ).

    Et il en va de même pour les êtres humains. Il n’y a pas qu’Une vérité absolue comme tu le prétends, je ne remets pas tes sources en cause. Mais je préfère me fier à ce que j’observe et à ce que je comprends plutôt qu’à ce que disent les uns et les autres.

    Rien n’est plus faux que de penser que l’amélioration de soi est le but ultime de la vie. Il faudrait être sacrément gonflé pour penser déjà d’une part que l’amélioration de soi prend la même signification pour tout le monde, et d’autre part pour penser qu’il existe une valeur constante donc FIGEE qui fixerait la norme d’un but ultime pour la vie du commun des mortels.

    L’être humain est beaucoup trop compliqué, et il n’existe aucune théorie psychologique ou psychanalytique qui soit vérifiée dans 100% des cas. Cela ne remet en rien en cause leur efficacité, ça n’altère en rien leur véracité , c’est juste l’être humain qui est ce qu’il est : Imprévisible.

    Le spikeclub est une vision de la vie, ce n’est pas LA vision de la vie.
    Les seuls qui prétendent détenir LA vérité ultime sont les sectes.

    Le seul but commun à tous les mortels c’est accèder au bonheur. Et là sur la définition du mot bonheur, il y en a pour des bouquins entiers.

  • #6, Pour ce qui est de ma prétendu prétention, je passe. Ce n’est pas le sujet. Nulle part je n’ai évoqué mes fantasmes ou mes gouts. Et le fait que tu y adhères ou non, je m’en fou royalement.

    Cela montre d’ailleurs à quel point tu ne comprends pas la portée du sujet.

    Je parle de vérité objective qui dépasse aussi bien toi que moi, les humaines, les ordinateurs ou les téléphones, et tu me parles de subjectivité, de croyance et de gout.

    Tu dis que je me prends pour Dieu, alors que jamais dans mes précédents écrits je ne l’ai évoqué ou ai eu la prétention de vanter mes qualités, mes goûts ou quoi que ce soit de personnel.

    Tu prétends me citer en disant « qu’une croyance reste une croyance même lorsqu’elle s’avère être vraie ». Mais jamais je n’ai dit ça. Relis moi. J’ai dit qu’une vérité qui se révèle être fausse n’était en fait qu’une croyance. Elle est remplacée par de nouveaux paradigmes, de nouvelles « vérités », qui ne sont vraisemblablement que de nouvelles croyances qui seront remises en cause plus tard. Il n’y a donc aucune vérité absolue là dedans.

    Et si tu continues de prétendre ne pas avoir tenu cette thèse, alors tu es simplement de mauvaise foi.

    C’est le fonctionnement même de la sciences, qui nous est vendue comme étant la vérité. Il suffit de regarder les publicités pour des produits nettoyants ou des colorations féminines soi disant « testé scientifiquement », ou « scientifiquement prouvé ». On se sert de la science pour essayer de nous vendre une vérité que ne l’est pas. L’argument scientifique, comme une garantie (pseudo vérité) qui rassure.

    C’est cette définition du savoir et de la vérité que tu as retenu. Une définition simple, basique. Que la ménagère de moins de 50 ans se suffit aisément à considérer comme vraie, tout comme tu sembles le faire.

    La question n’est pas de savoir si le rouge, c’est vachement super mieux comme couleur que le bleu. On s’en fou.

    La question n’est pas non plus de savoir si Miss France est en réalité moins belle que sa première dauphine et que le jury n’est composé que d’une bande d’aveugle. On s’en fou d’autant plus.

    La question ici n’est pas une affaire de goût.

    La question ici est de savoir, et non de croire, que ce que l’on entreprend de faire, d’apprendre, d’expérimenter et de faire progresser toute notre vie, c’est ce qu’il y a de mieux. La progression suppose un point final, un objectif. Le stade ultime est la vérité, la perfection. Peu importe qu’on ne l’atteigne jamais si on a au moins le mérité de l’avoir visé, on ira d’autant plus loin.

    Chacun a midi à sa porte. Mais la vérité, c’est qu’il n’y en a qu’un qui a l’heure, la vraie, ou personne ne l’a. Dans ce cas, il faut simplement essayer de s’en approcher le plus possible. C’est ça que j’ai voulu dire.

    Je n’ai pas dit non plus que tout était figé, la simple notion de progression aurait du te le faire comprendre… Je n’ai pas dit qu’on y arrivait du premier coût. Je n’ai même pas dit qu’on y arrivait. J’ai dit qu’on est le meilleur, quand on sait, et pas quand on croit, qu’on fait ce qu’il y a de mieux de la meilleur façon qui soit. Et ça, il n’y a qu’une seule façon de faire.

    Au fait, l’intuition, ce n’est pas non plus l’expression de nos expériences passées. Enfin ce n’est pas « QUE » ça comme tu l’as écrit.

    Une croyance, ou une intuition, devient une vérité à partir du moment où elle a été démontrée. C’est à dire considérée comme vérifiée (testée et approuvée) dans toute les conditions qui soient. Et attention, une démonstration, ce n’est ni un exemple, ni une preuve. Car ces derniers répondent à des conditions précises alors que la démonstration est universelle.

    Pour ce qui est de ton « ça », « moi » et « sur moi », je te laisse relise mon texte. La réponse est dedans.

    Et si malgré ce pavé, tu ne comprends toujours pas. Je te suggère de lire Habermas. Ces théories sur le savoir devraient t’intéresser.

    ZzZzz²²ZZZzz²²

  • Mmm non, on ne dit pas du tout la même chose. Nos propos sont tout ce qu’il y a de plus diamétralement opposé.

    l n’y a pas qu’une vérité. Et ça tu ne pourras jamais démontrer le contraire. Comme je ne pourrais démontrer qu’il n’y a pas unicité de la vérité. Nous sommes dans une impasse.

    Ce qui m’amène au point que je voulais voir émerger à savoir que tu donnes un point de vue basé sur des expériences qui te sont propres. De fait tu donnes Tes croyances à toi et non pas quelque chose d’intrinsèque.

    Pour pouvoir prétendre donner quelque chose d’intrinsèque , il faut se considèrer soi même comme un référentiel absolu. Ce que ton statu d’être humain t’ôte par définition de la condition limitée de l’être humain.

    A moins que tu ne sois Dieu le père, tu ne peux pas prétendre détenir LA vérité. Tu peux tout au plus mettre noir sur blanc tes idéaux et tes fantasmes, rien de plus. Je n’y adhère pas du tout. Tout en moi s’y refuse , et tout ce que j’ai vécu jusque là parle contre ce que tu prônes.

    Tu parles d’êtres humains comme si tu parlais de vulgaires bestiaux, d’ordinateurs ou de portables. Tu essayes de faire une modélisation qui ne prend pas en compte les paramètres fondamentaux qui font que l’être humain est ce qu’il est.

    Puisque tu veux parler philo dit moi , à partir de quand une croyance devient elle une vérité ? Vu que tu dis qu’une croyance reste une croyance même quand elle s’avère être vraie. Quelle place pour l’intuition ? (qui n’est que l’expression d’expériences passées ). Et quelle est la place du « ça » du « moi » et du « sur moi » dans la construction de l’individu tel que tu le représentes ?

    Il y a peut être des choses que j’ai dû louper. Mais si la vie m’a enseigné quelque chose , c’est que le monde est tout sauf FIGE.

    RR

  • #1, je n’ai pas bien saisi la portée de ce que tu voulais dire par rapport au texte. Mais pourquoi pas, en l’espèce je suis d’accord avec l’esprit des arts martiaux d’autant plus que j’en pratique… Par contre pour la masturbation d’égo, une justification ne serait pas de trop.

    #2 & #3, de rien, et merci à vous.

    #4, Tu as cette manie, très répandue semble-t-il, de dire la même chose que moi tout en affirmant exprimer le contraire.

    Ton erreur vient du fait que tu ne connais pas la définition du mot vérité.
    Je te cite : « Une vérité n’est qu’une croyance justifiée par une expérience. Elle fait loi, jusqu’à ce qu’une expérience contraire la remette en question. »

    Si une expérience contraire remet en question une vérité, alors ce n’en était pas une. Ce n’était qu’une croyance. Peu importe le contexte, la situation, les stimulis ou les influenceurs.

    Tu le dis toi même. « Une vérité n’est qu’une croyance ». Non. C’est tout le contraire.

    On ne croit que lorsqu’on ne sait pas.

    Une croyance en remplace une autre. Une vérité remplace une croyance. Mais une vérité ne remplace pas une vérité.

    Qu’importe les stimulis, qu’importe les goûts. Ce ne sont que des croyances éphémères qui sont susceptibles de changer avec le temps et la rencontre avec d’autres éléments de l’environnement comme tu le dis si bien.

    Une vérité ne change pas en fonction de l’environnement, les stimulis ou quoi que ce soit.

    Une vérité ne change pas. Ou si elle change, c’est que ce n’en était pas une. Mais nous n’avons pas eu la présence d’esprit de nous en rendre compte plus tôt.

  • J’aurai été daccord avec ton article si les êtres humains étaient des ordinateurs. Seulement ce n’est pas le cas. La logique n’est pas uniquement mathématique (qui dans ce cadre est une vérité qui défie le temps et les personnes, et encore … ).

    La logique consiste à regrouper des éléments et à les insèrer dans un contexte et des conditions bien précises.

    Dire qu’il n’y a qu’une vérité , revient à dire que sous les effets d’un même stimulant , tous les êtres humains réagiront de manière identique. Ce qui est on ne peut plus faux si on regarde quelque chose de basique comme les goûts musicaux qui sont des stimulis émotionnels.

    Une vérité n’est qu’une croyance justifiée par une expérience. Elle fait loi, jusqu’à ce qu’une expérience contraire la remette en question.

    Ce qui signifie que les vérités d’hier ne sont pas forcément celles de demain.

    L’environnement a bien plus d’influence sur les individus que ce que beaucoup de personnes peuvent penser.

    Tantra, l’action pour l’action c’est le fait de ceux qui ont le cerveau dans les manches.

    RR

  • Merci pour cet article qui permet d’inscrire la réflexion dans une progression.

  • Bla bla bla , masturbation d’égo que tout cela. La sur-intellectualisassions de notre existence tue notre énergie vitale et rend fade nos expériences.

    Revenir au fondamental; à la puissance de l’action immédiate et à l »intensité de l’Attention nous rend plus masculins que tous les artifices de notre lifestyle.

    « Do IT » *

    « Dans l’esprit du Zen et du Budo, la vie quotidienne devient le lieu de combat. C’est à chaque instant qu’il faut être conscient, en se levant, en travaillant, en mangeant, en se couchant. Là est la maîtrise ! »
    – Taisen Deshimaru

    ou une phase qui parle plus qu’un long discours:
    « être comme le tigre qui va boire à la rivière »

    *Scénarios pour la révolution, Jerry Rubin

    Tantra