Jean-François a l’art de se savoir se taire, d’écouter et de donner des rendez-vous pour la semaine suivante avec l’air emphatique et concerné. C’est donc tout naturellement qu’il est donc devenu psychanalyste.

Comme la plupart des ses confrères, il ne connaît rien aux femmes et encore moins à l’art de les séduire. Et c’est bien logique puisqu’à l’instar de ses confrères il n’en a pas besoin : le cabinet bourgeois, le canapé, les incessantes confessions intimes, le transfert affectif sur l’être sauveur ainsi qu’une image sociale d’un être profond et intéressant lui octroient l’usufruit du vide intérieur des patientes qui viennent lui confier son ennui. Vide intérieur qu’il décide ou non de combler par l’introduction physique d’une partie oblongue de son anatomie si la patiente en question présente encore des conditions de fraîcheur acceptables. Ca, ce n’est pas exactement dans le film. Je brode.

Mais si je brode ainsi, c’est que je suis bien obligé : dans le scénario, il n’y a rien. Vous ne me croyez pas ? Alors voilà :

Résumé de L’art de séduire

Quand sa patiente la plus fraîche du moment (Julie Gayet) lui annonce qu’elle met fin à ce racket légitimé qu’est la psychanalyse (et contre lequel les blaireaux qui prennent la peine de m’écrire pour m’insulter devraient se rebeller, s’ils avaient un brin de jugeote et l’esprit moins bouilli par le débordement hormonal dû à leur inactivité sexuelle ), notre Jean-François s’insurge et développe une belle obsession amoureuse qui aurait pu servir d’exemple au séminaire du même nom.

Il entreprend de la séduire de la plus belle des manières : comme un AFC. Evidemment, le résultat ne se fait pas attendre, il devient le confident des émois tout frétillants de sa belle pour le prof de tennis, qui a le physique parfait pour énerver les ingénieurs en informatique : mâchoire carrée, cou de taureau, biceps protubérants.

C’est là qu’intervient Julien, un ex geek devenu dragueur de supermarché par le biais d’un de ces merveilleux coachs en drague dont l’internet regorge depuis quelques années. Evidemment, Julien est grotesque, une caricature, et la seule scène un peu réaliste à son sujet se situe à la fin du film et dure une trentaine de secondes à peine : c’est Jean-François qui, pour le remercier, l’abandonne. Comme dans Confessions d’un dragueur, me diront les plus attentifs d’entre vous.

Entre temps, Jean-François se sera fait draguer sur une péniche par une nymphomane suicidaire (pléonasme, comme le savent ceux qui connaissent un peu la psychologie féminine), l’abandonnera sur son canapé par absence profond d’un quelconque intérêt, se sera précipité chez l’autre entendre une soudaine déclaration d’amour que les scénaristes ont jugé parfaitement plausible (j’espère au moins qu’ils sont au chômage maintenant, avec des idées de génie pareilles – ou en prison, en prison pour médiocrité), et ils auront copulé sur le canapé Louis XV du salon dans un bref épisode grotesque.

Détail

  • L’histoire n’est pas plausible une seule seconde une fois passé le postulat initial.
  • Les dialogues ont le goût et la saveur d’un navet tiède et cuit à l’eau.
  • Ce n’est pas drôle.
  • Il n’y a pas de pensée ni d’intelligence ni de goût ni de subtilité dans la mise en scène, qui ne recèle aucune surprise.

Je continue ?

Bande annonce

Conclusion

J’aurais honte d’avoir fait ce film. Mais en même temps, quand je tape « coach en drague » sur Internet, j’ai encore plus honte pour certains, et  je ne sais plus que penser. Si tous les goûts sont dans la nature, moi je vois surtout le mauvais.

Stéphane

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30 commentaires

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  • @Animal La Source vive le titre en français du roman de Any Rand. Il y a un film qui traite les grandes ligne du roman (Le Rebelle de King Vidor)

  • A ceux qui trouvent scandaleux cet élitisme mal placé de ceux qui s’autoproclament « intellectuels », je vous suggère de lire « The Fountainhead » d’Ayn Rand (titre en VO, je ne connais pas la VF) qui en fait un portrait édifiant et explique le pourquoi du comment (en gros, ça permet aux médiocres de se considérer au niveau des très bons sans aucun travail ou mérite…). D’ailleurs, je vous conseille l’ensemble de son oeuvre, qui devrait être une lecture obligatoire à l’école…

  • J’abonde dans le sens de Rose, il y a une sorte de malaise français sur le populaire et l’ « ordinaireté », si vous me permettez ce néologisme, de sorte qu’on a des films qui se veulent « intellectuels », et en fait ils sont chiants à mourir, alors qu’on a des blockbusters américains qui, eux, sont non seulement « fun », et en plus développent une vraie refléxion sur l’existence (je pense à la trilogie Batman récemment bouclée)…
    Mais c’est pareil dans la refléxion théorique (philo, psychologie, histoire de l’art…), on a des intellectuels qui pondent des bouquins avec des phrases alambiqués et limite incompréhensibles, genre pour faire savants. D’ailleurs, le bouquin de Gounelle en parle à un moment, quand il est question de Lacan.
    Et d’un autre côté, par exemple un philosophe américain qui développe des reflexions finalement simples, et proches de l’homme ordinaire (nous tous), mais très fines et intelligentes, et qui au final, et notamment en France, a une réputation à chier en étant l’objet de qques brûlots de la part d’intellectuels français, notamment parce qu’il fait qques choix jugés « arbitraires ».
    Mais je trouve quand même troublant de voir des critiques virulentes, et en même temps des thèmes abordés finalement très proches de chacun d’entre nous, très proches de cette « ordinaireté »… Comme un malaise.

  • Manifestement, tu n’as pas d’autre argumentation que « c’est vous les méchants agressifs et aigris qui vous défoulez sur moi ». Puisque tu ne lis pas ce qu’on écrit pour te focaliser sur ta pseudo-victimisation, on va juste arrêter de te répondre, ça sera plus simple.

  • La grand classe, à peine agressif :)

    En quelques messages, vous donnez une image sur votre site de gens trés agressifs, aigres, excités, revenchards et intolérants..

    Je ne vous ai pas insulté.

    Vous vous auto-insultez tout seul !

  • Robert (apparemment pas le vrai nom d’un des 3 scénaristes), avec Demy, Gayet, Abelanski, ce n’est pas un petit film

  • Exactement Animal.

    C’est magique, pour moi, de tomber sur un gusse pareil, tout ce que j’exècre personnifié : le parasite des arts qui crache sur la culture populaire ( tf1), pour faire croire qu’il est au dessus, à l’image de ces romanciers qui crachent sur Marc Lévy, alors que justement, ils seraient incapable de produire quoique ce soit dans cette catégorie.

    Tout le syndrome du cinéma Français : ni cinéma d’auteur, ni populaire, du vent subventionné.

    Robert, toute votre « oeuvre » ne vaudra jamais le plus mauvais film de Blier ou Joel Seria, allez travailler, sérieux, au lieu de nous couter du fric et de prendre la place d’autres films.

    PS: un réalisateur en 2012, c’est un mec qui s’exprime comme un gamin de 13 ans…hallucinant.

  • Bonjour Robert,
    En fait je serais presque d’accord, « aimer c’est accepter l’autre tel qu’il est vraiment… » Malheureusement , c’est à dire souvent tel qu’on veut vraiment le voir… en regardant ce qu’il a bien voulu nous montrer…
    ça fait déja un certain nombre de biais, mais admettons.

    Penser que l’amour va créer/faire tenir un couple, contre les défauts de quelqu’un, c’est beau, mais assez naif. Cette désillusion use bien plus de couples que l’amour n’en sauve.

    J’ai peur que cette dose de tolérance ne les conduise vers une fin bien plus triste comme Moravia l’a tristement décrite dans ses oeuvres.

  • Et, pour conclure, je te suggère l’intrigue de base de ton prochain film, si tu développes bien ça il est possible que j’en dise du bien:
    « La séduction, c’est être conscient qu’on ne peut pas plaire à tout le monde, et faire le tri des gens que l’on fréquente en conséquence ».

    De rien…

  • Expendables 2 est un bon film, dans le sens où il m’a fait passer un bon moment, et où il va faire beaucoup d’entrées et rapporter beaucoup d’argent. Evidemment, quand on se veut « intellectuel » ou « artiste », on prend de haut ce genre de films sans se dire qu’eux n’ont pas eu besoin de subventions pour se monter ou pour être rentables, et c’est tellement plus simple de mépriser le public qui ne vient pas voir ses propres films en se disant qu’il est ignorant que de se demander si on est pas passé à coté de quelque chose dans son histoire…

    Rose, on a encore une fois la preuve qu’on ne peut pas aider quelqu’un à évoluer sans qu’il en fasse la demande, faute de quoi il va te prendre de haut parce que, en fait, il sait tout mieux que toi puisqu’on le laisse faire des films dessus…

    Robert/Guy (puisque c’est le prénom du réalisateur du film, mais tu te caches sous un pseudo anonyme toi aussi), je te suggère de chercher le tumblr de Rose Selavy, il contient plus de poésie, d’art et de sens que tout ton film…

    Si tu veux une raison supplémentaire de ne pas aimer ton film, c’est tout simplement qu’il donne une image extrêmement fausse des rapports hommes/femmes, basée sur une morale ridicule et totalement biaisée (« aimer, c’est accepter l’autre, tel qu’il est vraiment », ha ha ha), et que des gamins vont être influencés par des idées aussi débiles et grandir en AFC de base, incapables d’aborder une fille correctement parce qu’ils vont croire ces conneries. Je ne doute pas que tu y croies toi-même, et je trouve ça encore plus triste, comme je trouve triste que tu rejettes en bloc ce qu’on essaie de t’expliquer sur la base qu’on est certainement des cons, vu qu’on te critique, crime de lèse-majesté s’il en est…

  • okay

    j’ai compris ,

    allez y ! défoulez vous annonimement

    salut
    allez voir « expendalble 2 » c’est un bon film pour vous

    ps : j’ai bien le masque et la plume :)

  • «Il y a très souvent une phase de désillusion, dans une relation amoureuse et de nécessité d’acceptation de l’autre dans sa différence. Car aimer, c’est accepter l’autre, tel qu’il est vraiment. »

    Robert, réalisateur et scénariste, 2012.

    Comment voulez vous ne pas avoir des films de merde après ça ?

    Ce qu’il y a de bien sur le net, c’est qu’on voit le niveau, tout de suite, personne ne peut montrer sa carte ou taper du poing sur la table.

    On peut se rendre compte qu’un réalisateur, et bien il peut avoir la même structure mentale qu’un adolescent. Il ne suffit pas de mettre du Carmen en fond sonore pour faire un film intelligent.

  • Excellent excellent!! Un article comme je les aime, dans le ton du Masque et la plume ou des critiques de Truffaut dans les Cahiers du cinéma, je me suis bien marré et on en redemande!!

  • Il y a quand même certain passages dans la « critique » qui sont assez violents notamment vers la fin, genre attaque personnelle.
    Mais je comprends très bien que les gens qui s’attendaient à voir une grosse comédie sur la drague soient très déçus. L’affiche est un peu trompeuse.
    Il s’agit d’une comédie « indépendante » : très petit budget. L’humour que j’ai voulu décalée, joue sur les caractères des personnages et leurs défauts. Ce sont tous des « anti héros ». Pour moi, les êtres humains ont tous des névroses et il faut apprendre à vivre avec : même les psys… L’idée c’est qu’en « amour », pendant et après la séduction, il y a un moment que je trouve essentiel et dont on parle très peu. C’est l’acceptation des défauts et des névroses « réelles » de l’être aimé, désiré et fantasmé. Il y a très souvent une phase de désillusion, dans une relation amoureuse et de nécessité d’acceptation de l’autre dans sa différence. Car aimer, c’est accepter l’autre, tel qu’il est vraiment. le vrai theme du film n’est pas la seduction. Le psy va le comprendre à la fin du film, car la fille un peu folle qu’il rencontre, l’accepte tel qu’il est, avec toute sa maladresse. Là, était mon postulat. Les personnages de mon film apprennent qu’il faut surtout une bonne dose de tolérance pour finir par trouver vraiment l’amour.
    Je comprends que ça diffère totalement de ce dont on parle sur spike séduction. Donc je comprends le rejet de mon film.
    Bien amicalement

  • Je me pose la même question qu’Ascagne.

    Pourquoi avoir publié ou laissé publier les trois médiocres articles ayant trait à la psychologie ? D’autant plus que si j’ai bien compris ils ont été rédigés par un étudiant.

    J’avais été habitué à une qualité nettement supérieure avec spike séduction…

  • Encore une fois Robert/Guy, on est pas virulents gratuitement sur ton film, il s’avère juste que Stéphane ne l’a pas aimé et le dit. Si tu parcours le site et le forum, tu constateras qu’un des premiers enseignements ici tient en une toute petite phrase: « On ne peut pas plaire à tout le monde ».

    Je comprends qu’entendre qu’on a pas aimé ton travail te vexe, mais ça n’est pas une raison pour faire l’autruche et nous accuser de mauvaise foi. Je vais même te proposer un deal pour te prouver qu’on est ouverts à la critique: si tu nous fais une vraie réponse (sur un autre mode que « vous vous défoulez gratuitement et sans raison sur mon film ») pour défendre ton film, je veux bien le soumettre à Stéphane pour qu’il soit publié comme article sur le site. Tu peux nous expliquer ton postulat, ce que tu voulais montrer, pourquoi ce thème, etc. et défendre tes choix.

    Ca te dit?

  • Ce film est mauvais pour les cinéphiles (et pas seulement pour ceux qui s’intéressent à la séduction) mais il faut le remettre dans un contexte.
    Il est destiné à un certain public :
    – féminin avant tout et qui ne cherchait qu’un « rafraichissement d’été » (le film est sorti en juillet, ce qui n’est pas un hasard)
    Si tout ça était calculé, le projet restait un tant soit peu crédible …

  • hello

    pour ce qui est de spike seduction, je dois vous avouer que je ne connaissais pas , donc je ne sais pas de ce qu’il en retourne sur votre site. et des discussions sur la seduction.

    mon film a enervé certains psy qui se sont senti visé car le psy de mon film n’est pas un bon psy.

    mon film est une comédie un peu grincante sur un homme qui est à la recherche de la femme de sa vie et de l’amour.
    Pour le reste, ce n’est pas un documentaire theorique sur une réalité, et il n’y a pas de message ciblé et soujacent sur les relations hommes femmes,

    en tout cas, je pense que pour étre aussi virulent , gratuitement sur un petit film , il me semble qu’il y a de blessure personnelle dans l’air

    il est vrai que vous avez totalement le droit de se défouler gratuitement

  • question trés difficile.
    je vais tenter d’y répondre.

    je dirais « King Kong »,
    « kramer contre Kramer »,
    « la dolce vita »,
    « happiness »,
    « Magnolia », « Melancholia »,
    « femmes au bord de la crise de nerf »,
    « la prisonniére du desert » de John ford,
    « le lauréat »…

    il y en a enromément, c’est un sujet universel :)

  • Ahaaaa, je me disais aussi…

    Je souris en constatant qu’encore une fois, c’est… la faute des autres, puisqu’on est passé d’une critique d’un film que Stéphane n’a pas trouvé terrible à un reproche de l’auteur du film qui essaie de nous la faire à l’envers en disant que si on est durs avec le film, c’est qu’on aime pas la finesse des moqueries « envers nous » qu’il a subtilement parsemé dans son film… Mais il faudrait peut-être relire l’article pour réaliser que le coach en drague que tu décris, c’est l’antithèse de Spike Séduction et l’expression de tout ce qu’on méprise dans ce monde, et donc qu’on ne risque pas de se sentir visés par une représentation aussi caricaturale des blaireaux qui s’improvisent en grands gourous de la drague. Alors de là à être énervés…

    Bref, encore une fois, on a le droit de ne pas aimer et de le dire, et il faut savoir prendre les critiques dignement. Mais c’est trop facile de décréter que c’est la faute des autres sans une seule seconde se remettre en question…

  • Robert, vous semblez mépriser les comédies romantiques grand public, et autres médiocrités.

    Quels sont pour vous les films les plus intéressant sur les relations hommes femmes ? ( interdiction d’utiliser wikipédia )

  • hello animal

    c’est juste que je suis le scénariste et le réalisateur du film .

    donc tu peux comprendre que tes propos sont assez violents et blessants, telement l’avis est « tranché »
    je comprends aussi que mes moqueries sur les gens qui disent connaitre tous les secrets et secrets et les mysteres de la séduction, vous enerve.

  • Robert, ça n’est pas parce qu’on n’aime pas un film et qu’on le dit qu’on fait preuve d’aigreur et de méchanceté, c’est triste de devoir rappeler qu’il n’y a pas de mal à avoir un avis et à l’exprimer, aussi tranché fût-il.
    Quand au film en lui-même, dans la mesure où nous sommes sur un site dédié à la séduction, il n’est pas anormal de le voir avec un oeil plus « pro » que la moyenne des spectateurs, et si les situations sont ridicules et peu crédibles, le film pas terrible vire rapidement à la bouse… Si tu veux un avis purement « artistique »,tu n’es pas sur le bon site…

  • Stéphane briguerais-tu une pige de consultant pour le cinéma ? Avoues que tu y a pensé; avant, pendant ou après avoir écrit cet article. Quoi qu’il en soit, tu ne m’as pas donné envie de le voir.

  • Autre chose (mais rien a voir avec mon message précédent) : quand le cinéma français cessera t’il de mettre a l’affiche des pistonner ? Dans la plupart des films, on trouve des acteur portant un nom qui nous est curieusement familier.

  • Il y a quelque chose de curieux dans article.
    Rien a voir avec la critique du film en tant que tel, mais plutôt concernant ta remarque sur la psychanalyse freudienne (je suis d’ailleurs d’accord pour dire que Freud est sans doute l’un des plus grand escroc de notre histoire contemporaine) : en effet, n’est il pas paradoxale de blâmer cette méthode psy, tout en laissant un de tes confrère publier des articles ou il ne cesse de vanter la pertinence de freud dans son analyse des troubles féminins ?
    Amicalement.

  • hello

    il est certain que ce film se moque clairement des gens qui prennent des cours de séduction.
    je comprends que si l’on regarde le film pour apprendre des conseils de séduction. on n’y trouve aucun interet.
    dommage que la personne qui a écrit le texte soit aussi pleine d’aigreur et de mechanceté vis a vis d’un film qui justement ne cherche pas à étre comme les autres films , ou autre comédie romantique (formaté tf1) mais je comprends que dans un monde ou secret story a du succés, on parle des films de façon aussi ridicule.

  • C’est juste, impertinent, piquant et tellement lucide.

    Je ne crois pas que le problème soit le mauvais le goût, mais la cécité volontaire dans laquelle est plongée une majorité de nos contemporains.
    Cela devrait leur faire du bien qu’une personne once in a while leur ouvre les paupières à coup de rasoir.

  • En tout cas ça donne envie !
    Merci de nous faire économiser une heure et demie de vie.
    Au passage (et parce qu’il faut bien occuper ce temps libéré), tu conseilles vraiment le livre d’Onfray ? ça fait un petit moment que j’hésite à m’y plonger.