Nos lecteurs témoignent de ce que leur apprend Hommes d’Influence au quotidien



Hello Stéphane,

A la suite de la semaine de lynchage médiatique que tu viens de subir, je voulais t’écrire pour te remercier du travail que tu fais depuis 2006. Et peut être qu’en racontant ma propre expérience avec le site Hommes d’influence, cela pourra donner une autre image du site. Les bénéfices que j’en ai retirés sont aux antipodes de ce que les journalistes dépeignent.

J’ai connu le site à 21 ans en 2008. Las de ne pas comprendre les femmes qui me plaisaient, j’ai tapé la question  dans google. Je suis tombé sur un paquet de sites et je les ai épluché durant de longues heures. Tu te doutes que le tien ressortait dans les recherches. Et en découvrant tes articles, j’ai décidé de ne lire que ton site.

Tu n’es pas un « coach » : tu apprends à devenir soi-même en mieux

Pourquoi? Parce que contrairement aux autres sites français, tu étais le seul à prendre tes distances avec les méthodes des gurus américains dont le problème réside justement dans le nom : méthode. En se calquant aveuglément sur ces concepts d’outre-manche, ces sites faisaient miroiter qu’il existait des formules toutes prêtes pour séduire, une sorte de kit du dragueur au rabais.

Et justement la grosse nuance avec tes articles c’est qu’ils n’ont jamais appris à « draguer », mais avant tout à être plus séduisant, et lorsque l’occasion se présente, d’être capable de séduire une femme qui nous plait vraiment tout en restant soi-même. Autrement dit, non tu ne nous apprends pas a devenir d’horribles manipulateurs.
D’ailleurs le premier article que j’ai lu c’est les signes d’intérêt.

Putain c’est quand même un article d’intérêt général ! Si chaque homme savait lire les signes d’intérêt, on gagnerait tous du temps et les femmes n’auraient pas à subir ces moments lourdingues de mecs qui leur tiennent la jambe alors qu’elle tente poliment de leur faire comprendre qu’elles ne sont pas intéressées.

Ce que j’ai retiré de ton travail

Je ne vais pas tout énumérer, mais ces 3 points sont ceux qui me viennent à l’esprit en premier.

1/ M’épanouir seul

Là où plein d’hommes attendent de rencontrer une femme pour être heureux (et finalement leur dépendance à cette idée les empêche d’être intéressants), j’ai appris à l’époque à m’épanouir seul sans rechercher le regard ou la validation des femmes. C’est à dire que j’ai commencé à remplir ma vie et à être heureux en étant célibataire.

J’étais déjà bien parti niveau boulot, niveau sorties, mais j’ai investi sur moi coté vestimentaire, qualité de mes activités culturelles, culinaires, intellectuelles, etc… Bref j’ai accéléré ma construction.

Très vite en un an, j’étais heureux et bizarrement je commençais à devenir beaucoup plus attirant. Je suis devenu non pas un clone de toi, mais une meilleure version de moi même.

2/ A décrypter

Comprendre les attentes féminines et ne pas transposer ma logique de mec sur les femmes avec qui j’étais en relation. J’ai tout simplement appris a être plus empathique pour identifier ce que je peux apporter à l’autre (en l’occurrence une femme).

3/ L’humilité

Comprendre que c’est avant tout les femmes qui choisissent leur partenaire et rarement l’inverse. Accepter que parfois il faille savoir se retirer. Accepter aussi que parfois on a merdé, que c’est irrécupérable et qu’il vaut mieux passer à autre chose. Accepter ma part de responsabilité dans les échecs. Tout cela permet d’ailleurs d’éviter de tomber dans le piège de l’obsession amoureuse.

Ce que tu as changé pour moi

Une belle relation de mes 23 à 28 ans et qui n’aurait pas été possible sans avoir ces « connaissances ». Pourquoi? Tout simplement parce qu’elle me plaisait vraiment et que je n’ai pas perdu le contrôle à 100% quand on s’est rencontré. Bien qu’intimidé par elle, j’ai réussi à rester moi même sans vaciller et sans perdre mes moyens.

Justement garder le contrôle, ce n’est pas faire semblant, c’est même l’opposé. C’est réussir à se montrer tel que l’on est en acceptant de prendre le risque que la personne qui nous plait puisse finalement ne pas nous aimer tel quel. C’est faire preuve de réalisme, sans idéaliser la personne et sans chercher à lui plaire à tout prix. Et bien que ça sonne comme une évidence, la plupart des mecs se foirent pile poil à ce moment là.

Et le rapport à la polémique?

Pour finir et rebondir sur le tourment médiatique actuel, je dirais que ton travail est justement un bon manuel anti misogyne. Pourquoi?

  • Parce que le misogyne ne perçoit pas les femmes telles qu’elles sont, mais telles qu’il le fantasme (dans le sens négatif du terme).
  • Quant au gentil garçon, c’est la même chose mais inversée. Il fantasme un être qui ne serait que pureté, douceur, etc… Et à force de s’accidenter sur le dur mur des réalités, un gentil garçon n’est qu’à un pas de sombrer dans les travers du premier. C’est grâce à ton travail que j’ai pu prendre une claque de réalité qui m’a permis d’avancer dans mes relations.

Être réaliste, c’est comprendre que les femmes ne sont pas des petits êtres fragiles, et surtout qu’elles possèdent une part d’ombre tout comme les hommes.

Ce n’est qu’en percevant l’autre tel qu’il est vraiment (et pas tel que l’on voudrait qu’il soit) qu’une relation sincère et durable peut s’installer. Et être réaliste c’est être dans la nuance ; prérequis indispensable pour tout raisonnement, toute construction qu’elle soit intellectuelle ou relationnelle.

Adam


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2 commentaires

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  • @Lea sujet ters interessant

    les blacks et metis pourquoi vous etes racistes entre vous ? comment vous pouvez accusez les blancs d’etre racistes si vous etes racistes entre vous ?
    ou alors reconnaissons que le racisme est qq chose de naturel , qui existe meme chez les animaux et d’ordre genetique.
    Certaines femmes blacks comme lea veulent pas des mecs blacks et idem pour les hommes qui preferent draguer les blanches plutot que les femmes noires meme dans des milieux mixtes.
    stephane tu pourrais pas faire un artcile sur ce sujet tabou (et delicat il est vrai) en France mais qui m’interesse au plus haut point ? rien sur les sites de seduction !

  • Bonjour,
    Je suis enchantée et honorée que vous ayez lu mon commentaire, j’ai vu qu’il était sur votre page Facebook par contre j’ai aussi lu quelques commentaires qui me poussent à vous écrire ce deuxième commentaire pour préciser quelques points:
    – premièrement je ne suis pas sexuellement attirée par vous. Je vous trouve très beau mais je n’ai jamais été attirée par les hommes noirs ou métisses. Je suis noire donc ça peut paraître étrange mais c’est en lien avec l’éducation de ma mère (elle avait une vraie défiance vis-à-vis des hommes noirs qu’elle ne jugeait pas fiables à cause de mon père qui l’avait « abandonné »… Et cette défiance est restée empreinte en moi) et puis j’aime les mélanges et les histoires compliquées voire quasi impossibles du coup je suis plutôt attirée par la différence (les hommes juifs (et la culture juive) en particulier … Ça doit être une histoire de camembert (sourire) mais aussi en lien avec des notions d’injustice et de famille unie). Bref tout ça pour dire que contrairement aux commentaires d’un type de Facebook je ne vous drague pas. (En écrivant ces mots, et à cause/grâce à vous, je me demande si je suis attirée par eux à cause de la tendance vénale des femmes… Si c’est le cas c’est pathétique et tellement cliché que je me déçois profondément…en même temps je me rassure en me disant que si j’ai bien fait votre test je suis H52-F48 donc peut être pas si vénale)
    – deuxièmement il s’agissait d’un commentaire de remerciement et de soutien et pas d’intérêt (l’altruisme ultime n’existe pas ok mais l’empathie si. En vous écoutant j’ai entendu que vous étiez passionné et hyper compétent du coup j’avais juste envie de vous dire Merci!, sincèrement et simplement, parce qu’étant professionnellement aussi passionée, à l’écoute et compétente que vous je sais à quel point ça coûte d’être comme ça). Je vous trouve drôle et j’adorerais être votre amie, vous comprendre (particulièrement comprendre pourquoi vous ne voulez pas avoir d’enfants) mais je ne pense pas avoir besoin de vous activement en temps que coach et je sais qu’on ne doit pas devenir ami avec ses patients/clients. En vous écoutant gratuitement, je cherche à comprendre comment les hommes (et les femmes) fonctionnent pour aller sainement, lorsque je me sentirai prête, vers la bonne personne en étant plus femme que femme-enfant et si un jour j’avais besoin d’un phonecoaching (consult Skype) je changerai d’avis et je vous contacterai et paierai. Je bosse en libéral, je paie beaucoup d’impôts et même si je suis la première à m’arnaquer toute seule en passant beaucoup de temps avec mes patient(e)s sans faire de dépassements d’honoraires, j’ai conscience que tout travail mérite salaire et puis je vous ai dit que j’ai fait une analyse donc je sais l’importance que l’acte de payer à pour que la démarche soit efficiente.
    – et enfin je trouve ça triste que des gens jugent mon commentaire sans me connaître mais je pense que les femmes-enfants qu’ils ont rencontré leurs ont fait énormément de mal et que je ne dois pas prendre leurs remarques pour moi. Mais même si je ne suis « rien » pour vous, vous êtes quelqu’un d’important pour moi maintenant… Au même titre qu’un grand réalisateur ou écrivain qui grâce à son art m’aide à m’interroger. Et étant donné que vous êtes accessible je tenais à vous expliquer « la conclusion » de mon analyse pour que vous ne soyez pas influencé par les propos des gens sur Facebook (et peut être parce que j’ai l’outrecuidance de vouloir vous apprendre quelque chose, … je suis ambitieuse-prétentieuse… plus sérieusement je ne suis pas certaine de vous apprendre quelque chose mais je tente, si ça vous fait réfléchir à quelque chose qui vous aide à affirmer ou développer une théorie je serai trop contente d’avoir rendu un peu à quelqu’un qui m’a donné beaucoup).
    Donc mes antécédents familiaux « lourds » sont une mère schizophrène et un père absent depuis mes 3ans (j’en ai 34 maintenant donc j’ai relativisé et repris contact avec lui… étant donné la mère que j’ai je peux comprendre son absence (sans l’excuser)) donc beaucoup de responsabilités à gérer tôt face à cette mère défaillante et ce père absent et quelques traumatismes mais je suis resiliente donc ça va. En quittant ce foyer à 19ans j’ai réagi (en réaction) en jouant la gamine à la recherche du père, j’avais l’envie/la soif de découvrir et comprendre les hommes (probablement de m’en venger aussi malheureusement…). Et en ce qui concerne le passage de femme-enfant à femme-femme effectivement le trop plein de dévoiement m’a aidé à comprendre qu’il y avait un problème… Mais pas à résoudre le problème. J’ai toujours cherché « à soigner » des hommes à problèmes (artistes torturés…) en tentant de résoudre leurs problèmes pour oublier les miens, je pensais qu’une fois qu’ils iraient mieux ils m’aideraient à résoudre les miens, j’ai toujours un peu fait la psychologue en fait (comme avec ma mère, avec mes amies) mais lorsqu’on va mieux on dit au revoir à son psy et je pense que c’est aussi pour ça que les hommes me quittaient. Et pour conclure mon analyse m’a permis de comprendre que j’ai toujours cherché à partager beaucoup de plaisir sexuel avec les hommes (je n’ai jamais été aussi heureuse que dans l’excès et la débauche… Les fuckfriend s’étaient vraiment très sympa même si avec le temps et l’attachement je lâchais de moins en moins prise) mais étrangement lorsque j’étais amoureuse je ressentais (et probablement donnais) beaucoup moins de plaisir sexuel, peut être à cause de l’enjeux… l’intérêt… (En vous écoutant je découvre que je devais cerner inconsciemment le conflit entre protection et sexualité et étant amoureuse je devais avoir peur de les perdre si je lâchais trop prise… Je vais continuer à vous écouter pour mieux comprendre tout ça). Tout ce que je sais c’est que malgré une vie sentimentale nourrie je n’ai quasiment jamais atteint l’orgasme, le saint-graal (sourire). Et je ne pense pouvoir l’atteindre que lorsque je quitterai la scène de l’enfance, chemin que je dois affronter seule mais qui se clôturera accompagnée (j’espère). Je pense que pour les femmes resilientes qui sont capables d’intellectualiser les choses et qui sont honnêtes avec elles mêmes, l’orgasme n’est pas si simple à atteindre, c’est quelque chose de rare. Et lorsqu’une femme-fille comme moi arrive à l’atteindre elle devient femme-femme parce qu’elles coupent réellement le cordon avec sa mère (ses parents) et par conséquent devient capable de devenir une mère « suffisamment bonne » comme dirait Winnicott. Je ne sais pas si vous pourrez me comprendre parce que c’est très psy et peut-être très singulier mais je tenais à vous le préciser. (Ex: lorsqu’une femme-enfant devient mère à l’accouchement en présence de sa propre mère plutôt que de son conjoint c’est le drama).
    – Et enfin pour le commentaire sur la femme « légo » je ne connais pas encore votre théorie à ce sujet mais je vais la découvrir en vous écoutant. J’espère que je ne vais pas Encore! me prendre une claque mais si c’est en lien avec l’égo, il est vrai que j’ai un égo problematique parce que pas assez fort dans certain cas légitimes mais tout de même bien présent et peut être trop fort dans d’autres cas moins légitimes… La preuve je vous écris un roman pour me défendre face à des commentaires que j’ai trouvé injustes.
    Voilà très cher. (Si ce commentaire pouvait rester entre vous et moi ce serait bien… Je suis très contente que vous ayez publié l’autre s’il vous a touché mais celui là est très personnel).