Salsa + jalousie + 22 ans = ?



Aimer la salsa, c'est bien ; aimer les rencontres que l'on peut y faire, aussi; mais quel est le secret pour s'y comporter quand la jeune danseuse qu'on y a rencontré fait tout pour nous rendre jaloux?

Où comment il suffit à une fille (jeune) de pleurer 2 minutes pour mettre presque n’importe quel homme en obsession amoureuse. Et pourquoi la salsa est une boite à hormones transpirante d’où suinte ma théorie de l’enceinte close. Et pourquoi vous appelez toujours quand c’est trop tard et que c’est mort de chez mort.

Ecoutez ce phone coaching

Téléchargez gratuitement des phone coachings en vous inscrivant à notre podcast (iTunes)

Connaissances mobilisées

Vous voulez bénéficier de la même qualité de conseil ?

Réservez votre phone coaching avec Stéphane et bénéficiez d’un conseil honnête, objectif et de qualité (approfondi) sur votre situation. Sinon, vous pouvez toujours essayer de demander leur avis à vos ami(e)s, et comparer… A vous de voir ;)

phone coaching

Stéphane

Crédit photo : Ryan


SEMINAIRE SUR CE THEME
- Commandez le séminaire "techniques de séduction à l'écrit"
  1. Devenez plus écouté, plus intéressant et plus charismatique
  2. Captivez et convainquez à l'écrit
  3. Appliquez les techniques de séduction au monde professionnel
  4. Décrochez votre dream-job
SEMINAIRE SUR CE THEME
- Commandez le séminaire "intelligence sociale"
  1. Gagnez en intelligence sociale et en aisance relationnelle
  2. Agrandissez votre réseau
  3. Découvrez les petits secrets des hommes séduisants
  4. Terrassez la timidité à grands coups de poings dans la g.

13 commentaires

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

  • Les cours de Salsa/Bachata/Merengue/reggaeton…
    J’ai rarement vu un truc qui puait plus la solitude en France.

    Le pire, c’est que ces danses, c’est exactement humainement tout le contraire des gens qui s’inscrivent.
    C’est supposé être : La joie de vivre, la félicité, la masculinité, la féminité (Ouaip, oubliez la théorie des genres), la fête, le bonheur etc etc

  • ohlala la salsa, danger!! les filles à macs, exigeantes, névrosées, agressives; si vous avez vu « Je ne suis pas là pour être aimé » un film déprimant c’est exactement ça on a envie de foutre des claques au personnage de anne consini

  • Je ne comprendrais décidément jamais comment les phones coachés peuvent être autant dans l’incompréhension devant la quantité et surtout la qualité d’informations présentes sur ce site.

  • 3 semaines de discussions à batons rompus sans échanger de prénoms. j’aurais essayé de le faire que j’y serais pas arrivé.. malgré les difficultés que j’éprouve à aller spontannément vers les gens, je pense que demander le prénom de la personne dans les 5 ou 10 premières minutes d’une interaction -qui de surcroit sera amené à se reproduire- est quelque chose de naturel.

    Meme incompréhension vis à vis des motivations de notre ami. Je en veux pas être condescendant mais son attitude, ce flou qu’il laisse « volontairement » me rappelle les attitudes purement féminines. un peu du genre garder un ou deux mecs à coté, sait-on jamais. ca peut expliquer pourquoi il se sent géné lorsque la fille s’habille façon « rencard » : il ne veut pas griller cette carte et sortir de ce flou. Etre mis devant le fait accomplit..

    Je suis peut être idéaliste, mais je pense que les gens ne doivent pas être utilisé comme ca -je sais que le monde fonctionne différemment et que les filles ne vont pas se gener pour adopter le meme shéma- il vaut mieux couper court à toute ambiguité avec la fille, être claire, gener lui dire « tu es une vraie amie » ou « comme ma soeur ».. ce genre de phrase qui permet de clarifier les choses tout en lui permettant de sauver la face. Parce qu’en face y a quoi ? une vie rempli de demi-mesure, des « sorties » avec des filles qui nous plaisent à moitié, des sorties ou on croise des filles qui nous font réellement vibrer mais à qui on ne pourra pas parler -encore que ca ne soit pas simple là aussi- bref, ne pas vivre de vrais sentiments et vivre dans l’angoisse du « Si ».

    A bon entendeur.

  • La logique du « phone coaché » m’échappe aussi …

    3 semaines sans demander de prénom, se retenir avec quelqu’un qui ne lui plait pas en l’invitant dans le même temps à des événements assez intimes comme un cours de cuisine …

    Puis pourquoi être choqué ou surpris qu’elle s’habille bien ou se maquille ?

    Bref, situation curieuse. Un manque de recul sur soi aussi, aux moindres réflexions de Stéphane, il enchaînait avec un « oui je sais » sans même prendre de le temps de réfléchir à ce qui avait été dit.

    En tous cas bon courage pour la suite !

  • En plus de la théorie de l’enceinte close,dans cette situation, il faut aussi faire appel au concept de désir triangulaire; le mec est pâle de jalousie de voir une femme qui à priori ne l’intéresse pas faire froti frota un avec un autre. On désire ce ce qui est désiré et non forcément ce qui est intrinsèquement désirable.

  • Déjà le mec est chelou… s’il est capable de parler 3 semaines à quelqu’un sans connaitre son prénom c’est qu’il y a un problème.

  • Je connaissais la mauvaise foi féminine mais pas la mauvaise foi masculine à ce point.
    Notre auditeur prends une belle claque de vérité en pleine face et je veux bien admettre qu’il est un peu dans le déni (pour ne pas dire tout le temps), qu’il ne répond pas à une seule de tes questions, qu’il justifie toutes tes interventions par des explications qui sortent de nulle part mais je trouve que tu y vas un peu fort.

    J’ai peur que tu l’aies brusqué, qu’il se soit braqué et qu’il n’ait rien voulu entendre. Du coup il ne semble toujours pas avoir compris, même après presque 30 minutes de phonecoaching.

    Paul, est-ce qu’après avoir réécouté tout ça, tu y vois un peu plus clair?

  • Un Coaching très sec mais néanmoins nécessaire. on a tous besoin d’une claque.

    Dans cette situation il y a plusieurs raison faisant qu’il s’attache de manière anormale :

    Primo : Le sempiternel « fuis-moi… » La difficulté, le mystère et inaccessibilité entraine toujours un intérêt.

    Secondo : L’égo. Il est très dur de se faire rembarrer. Même lorsqu’on a connu des dizaines de femmes. L’égo, l’arrogance -trait de caractère commun a la plupart des « séducteurs »- pousse un homme à ne pas accepter le refus et à vouloir celle qui l’a éconduit.

    _Tercio : Le plus important, les opportunités, la vie sociale. Un homme ayant une vie remplie de femmes et d’opportunité aura une vision, une mentalité et des sentiments TOTALEMENT différents d’un homme plus seul (Oui, la sensibilité dépend quasiment uniquement de facteurs extérieurs…)

  • Stéphane peut paraître ferme et dur, mais je reconnais que les actions et paroles de Paul sont incohérentes, et qu’il a été (trop) long et peu clair dans son exposé de la situation.

    Je trouve même que c’est le défaut de nombreux coachés; les exposés manquent souvent de concision, de clarté et de synthèse.

    Je ne dis pas que je pourrais faire mieux, mais j’aurais du mal à suivre (pour ma part) au téléphone.

    Analyse intéressante de Stéphane même si ce n’était pas la plus délicate à mon sens. Paul a fait beaucoup trop d’erreurs et a agis connement.

    On en a tous fait; en l’occurrence ça fait beaucoup.

  • Ce qui déclenche les situations de souffrance a posteriori, c’est souvent le manque de clarté vis à vis de soi-même.

    Donc non, si on se refuse à une jeune femme qui se fait remarquer puis qui enchaîne les signes d’intérêts, ce n’est pas pour éviter « de profiter de la situation ».

    Et cette crise de jalousie et cette obsession me semble plutôt un problème d’égo que d’amour. Non seulement c’est mort, mais surtout, ça n’a jamais été vivant.