Baisse de désir chez l’homme: inévitable tant qu’il se contente de… (courrier des lecteurs)



On a enfin trouvé la solution à la baisse de désir masculine, découvrez-la ici

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Et comment obtient-on l’amour de l’autre? Normalement, c’est là que ça se corse et que tout le monde se dispute pour avoir raison.

A écouter les femmes, et elles sont pour une fois toutes unanimes sur le sujet, il suffit justement de ne rien faire du tout, tout en restant parfaitement authentique (contradiction interne qui représente déjà en soi un tour de passe-passe, voire un tour de force: si je m’efforce de demeurer authentique à quelque chose ou à quelqu’un, je suis déjà dans la représentation, je ne peux donc légitimement pas être en train de ne rien faire).

Et quand bien même à avouer que ne rien faire, ce serait vraiment ne rien faire, reste que c’est comme rester immobile sous le soleil à midi à la plage en juillet: plus facile pour certain(e)s que pour d’autres.

La réalité, c’est que tout comportement est une stratégie, qu’une stratégie est le choix d’une option en fonction d’un ratio coûts/bénéfices, et qu’à ce titre la stratégie de la Femme-Enfant est toujours une stratégie à brève-échéance, jamais de long terme:

La femme-enfant attire l’homme temporairement

Le combo [réflexes enfantins] + [cuisse ferme sans varicosités] + [radar à plaisir pour mieux prendre son pied] attire l’homme adulte car stimule son instinct nourricier, homme adulte qui admire ces vertus de légèreté et d’inconstance d’autant plus qu’elles lui sont interdites*

(*l’artiste enfant jouisseuse finit femme entretenue – lire à ce sujet les revues de presse hebdomadaires, où de vieilles actrices mondaines finissent avec des entrepreneurs et des banquiers dans leur deuxième moitié de siècle – tandis que l’homme enfant artiste et jouisseur finirait dans la misère noire, ou contraint d’abdiquer son hétérosexualité)

… pour finir par – A – le lasser ou – B- le rendre fou

Mais voilà. Comme en bourse, les stratégies à bas risques sont aussi celles à bas taux, aussi il devrait être aisé de comprendre qu’une stratégie qui a démontré son efficacité sur le court-terme peut s’avérer faible voire contre productive sur un terme plus long, et vice et versa. Je reprends donc la suite de mon raisonnement.

Faire la femme-enfant revenant, pour la plupart des filles de 25 ans, à ne rien faire de spécial sinon être elles-mêmes et ne pas grandir, c’est à dire finalement être ce qu’elles étaient avant (ce qu’elles appellent « être naturelles »), il n’est pas illogique, point de vue macro-socio-logique, que cette stratégie puisse faillir sur long terme à convaincre l’homme de s’engager, car

  1. il en voit les limites
  2. une femme-enfant n’étant pas l’égal d’un homme adulte (seule une femme-femme est l’égale d’un homme-homme*), il finira forcément par la considérer comme inférieure, et désirer durablement un être inférieur est une ambition de pervers
  3. inapte à élaborer une quelconque stratégie autre que celle consistant à minauder comme une gamine pour recevoir de l’attention et des cadeaux, une femme-enfant délaissée est toujours impuissante à faire renaître la libido chez un homme qui s’en est détourné. Sauf à le tromper, scénario ultime de revalorisation du corps déchu de son statut d’objet de conquête. C’est sans doute pour cela qu’elles le font si souvent.

Bref:

  1. Il est impossible de désirer une femme-enfant toute sa vie, pour des raisons à la fois bio, socio et psycho – logiques
  2. On ne peut désirer longtemps que son égal du point de vue du développement, et encore…
  3. … à condition que cet égal s’intéresse réellement au fonctionnement de l’autre dans son altérité
  4. or ça, c’est compliqué
  5. les femmes-enfants n’aiment pas la complication
  6. donc vraiment, définitivement, exit les femmes-enfants.
  7. Essaye les vraies femmes, tu vas voir, ça va te changer!

A la tienne, je me sers un verre de Mezcal.

Stéphane

*Si la plupart des hommes voient, en leur for intérieur, la femme comme inférieure à eux sur 95% des plans, il ne faut pas trop leur en vouloir: nous sommes entourés de femmes-enfants pour qui jouer à sembler inférieures (en force et en courage notamment) est une stratégie de séduction qui maximise leur ration coût / bénéfices: en ravalant sa fierté devant un homme, on en obtient beaucoup plus que ce qu’à coûté de ravaler. Demandez à votre mère, elle-même sait ça par coeur, et finira bien par avouer. Jusqu’au moment où l’homme affaibli par une santé défaillante ne peut plus se défendre ni partir ni même aller voir ailleurs, et alors c’est la vieille vengeance qui se mange froid. Pas vrai Madame Chirac ?

Crédit photos: @yakobusan Jakob Montrasio 孟亚柯


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11 commentaires

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  • « Si la plupart des hommes voient, en leur for intérieur, la femme comme inférieure à eux sur 95% des plans, il ne faut pas trop leur en vouloir: nous sommes entourés de femmes-enfants pour qui jouer à sembler inférieures est une stratégie de séduction… bla bla bla» Vous écoutez sérieusement ce bullshit ? Allez donc chez un vrai sexologue plutôt que d’écouter un pervers faire de la psychologie de comptoir. Pourquoi les « femmes-enfants » sont le nouveau sujet de discussion, depuis un moment ? Pourquoi ne parlons nous pas des hommes qui cherchent leur maman à travers leur petite amie ? Leur femme ?

  • Il nous fait marner le stéphane !
    Thomas je pense qu’une réponse intéressante pour toi se trouve dans le sexe polygame d’Esther Vilar, et probablement que la suite de la réponse de Stéphane ira dans ce sens là. Donc à regarder en quoi consiste pour elle le « grand amour » …
    Cela dit, une chose dont on ne parle que peu sur spike et dont tu es peut être un peu le précurseur, c’est quand on est on bon élève comme toi et qu’on arrive a obtenir à peu près ce qu’on veut, que l’on commence à comprendre en profondeur certaines choses, la question qui commence à s’imposer d’elle-même c’est : et après ? y-a-t-il une vie après la … conquête?
    Je ne sais pus quel sage disait: il y deux catégories de gens très malheureux; ceux qui n’ont jamais qu’ils veulent et ceux qui ont tout ce qu’ils veulent.
    La bonne nouvelle, pour finir sur une note positive ( sans faire du wishfull thinking, streng verboten izi :-))) c’est que ce que tu vis est une porte sur quelque chose de totalement neuf. Eh oui! que peux donc faire un homme et que peut-on faire d’un homme quand il ne pense plus a baiser tout ce qui bouge…

  • Bonsoir à toutes et à tous,

    Tout d’abord, merci beaucoup pour vos commentaires (dont la pertinence n’est pas forcément proportionnelle à la longueur, je dois dire, mais c’est quand même sympa de participer à la discussion).

    Je vois déjà que je ne suis pas le seul dans ce cas, mais il faut bien dire que je n’ai pas pensé une seconde que ce serait le cas. J’attends avec impatience la seconde partie de la réponse de Stéphane, et en particulier un éventuel développement sur la citation « choisir, c’est délaisser ». J’ai dans l’idée que c’est la clé de voûte de mon problème, car j’ai tendance à empiler les relations (relations libres évidemment, pas les relations importantes), plutôt que de choisir l’une ou l’autre, ce qui devient rapidement invivable. Enfin, on verra…

    Pour répondre à ta question, Cécile, c’est une bonne remarque. Je me la suis posé, je l’avoue, mais je ne pense pas qu’une quelconque culpabilité ait quelque chose à voir là-dedans, et ce pour trois raisons : la première est que je n’en ressens pas, d’une part. La seconde est qu’effectivement nous sommes en pause pour plusieurs mois (et plutôt 10 que 2), et en outre, oui, nous sommes d’accord là-dessus (et également mutuellement d’accord pour ne pas poser de questions potentiellement gênantes à l’autre, si tu veux tout savoir). Dernière raison, je ressens cette baisse de désir depuis un moment, et hors de la relation particulière dans laquelle je suis aujourd’hui. Je n’ai pas multiplié les exemples pour ne pas alourdir mon courrier mais, par exemple, j’ai eu pendant un moment deux sex-friends au même moment… Tu vas penser que je suis le mec le plus puéril de l’Univers, mais avant de vivre cette situation, je me disais que ç’allait être l’éclate totale. Au final, j’ai tenu deux semaines, c’était non seulement ingérable, mais pas du tout excitant non plus (je vais probablement écouter le séminaire « Sex-friends » avant de retenter ce genre de chose…).

    Au sujet de Happn et Tinder, j’aurais sans doute pu éviter d’en parler, car cela n’apporte rien à mon propos, et cela déplace la problématique du côté de « peut-on prendre autant de plaisir à séduire une nana sur Happn/Tinder que dans la vraie vie sachant tous les défauts de ces applications ? », ce qui n’est pas inintéressant, mais un peu hors-sujet.

  • Beau courrier, bien dense, sans fautes, avec un vocabulaire riche !

    Je tente :
    – instinct de conquête d’une femme qu’il désire car elle présente des caractères sexuels qui le stimulent
    versus
    – instinct de protection d’une femme qui montrerait qu’elle est vulnérable et prête à délaisser certaines choses afin de porter sa progéniture en échange de son engagement et de ses ressources

    La copine de Thomas, vu qu’elle est « mutine » comme il dit, stimule son instinct de conquête. Une fois celle-ci réalisée, c’est-à-dire après le coït, Thomas se rend compte que la zouz ne dégage aucune fragilité ni vulnérabilité, ce qui a pour effet d’inhiber son instinct de protection.

  • Petite question… ta copine « sérieuse » est elle au courant de cette pause entre vous? Est ce une pause de plusieurs mois?
    Parce que le problème vient peut être du fait que tu culpabilises inconsciemment.

  • Hello, je suis dans le même cas, et j’ai trouvé un interview de Brel à l’époque qui a mit des mots qui correspondent pile poil à ce que je ressentais:

    https://www.youtube.com/watch?v=rHpiRaYZd_0

    Il dit qu’il est passé à coté de quelque chose, c’est la différence avec moi ou je suis plus cynique, et je pense plutôt être libéré de quelque chose. Il dit par pudeur ( comme moi avant), ou par paresse ( comme moi maintenant). Maintenant que j’ai la grille de lecture, que je vois les différences hommes femmes , et que je sais ce que je veux, quelle est ma vraie nature et quelle est la leur, que je vois ce qu’elles veulent, j’ai vraiment du mal à trouver les femmes mystérieuses et intéressantes, qui ont une discussion qui m’apporte réellement quelque chose. J’essaie avec beaucoup de nonchalance, mais le desir est parti, c’est pour ca que ce serait interessant qu’on fasse tous un bilan dans 15 ans, à mon avis ca serait instructif. Et pour finir, je me demande si l’amour est pas quelque chose d’inventé et de ressassé pour garder les gens en couple, leur faire acheter une jolie maison avec un joli credit, bref nous controler un peu mieux, nous sédentarisé . Pour moi l’homme n’est pas monogame par nature, ni la femme. Je me serai mieux vu vivre dans une tribu en ayant plusieurs maitresses, et chasser avec mes potes, vivre des aventures, comme dit Jacques, revenir de temps en temps, et repartir de l’autre coté de la colline.

  • J’ai découvert ce site via la chaine youtube il y a moins d’un mois. J’ai lu peu d’articles et assisté à aucun séminaire. J’ai peu d’expérience avec les femmes et suis encore loin d’avoir l’expérience de l’homme de ce témoignage. Mais j’aime jouer, et pour être honnête, jouer à être Stéphane Edouard a quelque chose de fascinant. Je vais donc répondre du mieux que je peux.

    1ER ELEMENT DE REPONSE

    Au départ, un mec a besoin de se sentir désiré parce qu’il est. Mais étant donné que c’est difficile d’éveiller le désir parce qu’il est, il décide de travailler sur lui. Il entreprend une démarche sur le long terme pour s’améliorer et devenir ainsi quelqu’un d’attirant et de désirable. Qui à défaut d’être désiré parce qu’il est le sera pour ce qu’il est.

    Mais dans les faits, la femme n’a pas besoin de s’intéresser à la personnalité riche qu’il a développée pendant des années pour avoir envie de coucher avec lui. (C’est cruel, mais c’est comme ça. Elle peut désirer un mec sans réellement vouloir de lui. De la même manière qu’une femme peut ressentir de l’injustice due au fait d’être désirée uniquement pour sa beauté et pour rien d’autre, ou insuffisamment désirée en raison de son physique quelque soit sa personnalité et son intelligence.)

    En fait la femme, et même celles qui nous plaisent beaucoup, peuvent parfois se sentir attirées par nous en raison de critères qui ne dépendent pas de nous, ou qui ne nous donnent pas vraiment envie d’être avec elles. Des critères qu’on a parfois besoin de ne pas savoir. (Se référer aux séminaires de Stéphane pour plus d’infos sur le sujet)

    Par exemple il peut avoir des périodes où le mec arrive facilement à coucher parce qu’il a eu le bon timing d’arriver à une phase où elle n’est pas trop difficile. Ou parce qu’il est son type, parce qu’il a une certaine situation socio-professionnelle et des ressources, un physique avantageux ect…
    Et dans le second temps parce qu’il a le savoir et le savoir-faire qui permet de ne pas faire d’erreurs stupides.

    Quand il se rend compte de ça il réalise qu’il n’est pas plus désiré pour ce qu’il est qu’au départ.
    Pourquoi ce n’est seulement maintenant qu’il le comprend alors ? Et bah c’est parce qu’un gars a dabord besoin de satisfaire son besoin de sexe avant de s’en rendre compte. Déjà parce que c’est une pulsion qui empêche presque de penser à autre chose, mais aussi parce que c’est une énorme forme de validation et de reconnaissance. Un peu comme-ci l’homme a besoin de donner à son sexe une dose d’activité satisfaisante pour se mettre enfin à réfléchir avec son cerveau et son cœur ; en vue de d’obtenir la vie et les relations qu’il estime mériter. (Je me rends compte que si j’étais pas un homme on pourrait presque dire par ce que je viens d’écrire que je suis atrocement misandrique)

    Donc pour répondre à la question, selon moi ce qui lui fait perdre son désir c’est l’injustice de savoir qu’il n’est pas désiré pour ce qu’il est. Mais parce qu’il correspond à peu près à certains archétypes dans l’inconscient collectif féminin, ou en raison d’autres critères d’attraction féminine qui ne nous valorisent pas.

    Parfois quand l’homme se met à comprendre pourquoi ça marche, ou que ça marche trop et trop bien. Il perd l’illusion que c’est grâce à lui-même que ça fonctionne. Grâce à ses efforts, grâce à sa volonté de la rendre heureuse, grâce à son esprit et à son âme, grâce à sa valeur propre, celle qu’il a essayé d’améliorer pendant des années. Au profit de sa valeur « relative » que lui donne la société sur des critères extérieurs, ou des expériences passées de la nana qui l’ont orienté vers son type…
    Du coup il perd le sentiment, voir l’envie ou pire l’espoir d’être quelqu’un qui plait aux femmes. Et il se met à se préoccuper davantage de celles qui ne lui accordent pas d’importance que de celles qui lui en donnent. Un peu comme les femmes qui croulent sous les sollicitations mais que cette abondance finissent par déprimer et dégouter. Car désabusées des critères d’attirance masculins particulièrement tournés vers le physique.

    Ce dont il a besoin c’est d’être sincèrement désiré par une femme qui l’attire. Une qui le désirera pour ce qu’il est et pas en raison de critères artificiels. Celle qui l’aura choisi lui, qui le voudra lui plutôt qu’un autre, et ce malgré ses défauts, même s’il n’est pas son type, qu’il manque de ressources, ou qu’il n’est pas idéal.

    2EME ELEMENT DE REPONSE

    [En raison de la généralisation excessive et l’aspect assez caricaturé que présente ma première réponse, je me sens obligé d’apporter un deuxième élément de réponse qui se rapproche un peu plus de la réalité]

    Avant il a développé le réflexe d’être toujours prêt parce qu’il ne couchait pas autant qu’il le voulait. Il était en manque donc le sexe est progressivement passé du statut de préoccupation à celui d’obsession.

    Puis à force de travail et de patience il a réussi à échapper à la misère affective et sexuelle dans laquelle se baignent (voir se noient) la plupart des hommes. A ce moment-là le sexe est devenu le moyen de combler un manque et surcompenser ses frustrations passées. Mais surtout une manière de se récompenser d’avoir travaillé si dur et patienté si longtemps. C’est un peu normal que le sexe ne représente vraiment plus la même chose pour lui que lorsqu’il en était privé, maintenant qu’il en a autant qu’il veut.

    Comme le disait plus ou moins Stéphane, l’homme utilise le sexe pour se récompenser d’avoir triomphé des épreuves. Alors la solution est de trouver de nouveaux objectifs qui donnent sens à sa vie et les réaliser. Ainsi il retrouvera de nouveau l’envie de se récompenser.
    Si ce que je dis est vrai, la phase qu’il traverse actuellement n’est pas du tout une épreuve, au contraire. Mais plutôt une superbe opportunité d’aller au-delà de lui-même pour se construire, réaliser des projets, réussir, et se récompenser encore !

  • Déjà, bravo à celui qui a écrit ce post: c’est limpide, modeste, intelligent. On en aimerait plus souvent des comme ça!
    Dans ta progression, il y a d’abord eu les filles que tu pouvais avoir, puis les filles que tu voulais avoir… Le problème, c’est qu’aussitôt que quelque chose devient plus facile, presque habituel, il perd de son sel. Ta baisse de désir ne concerne pas la fille avec lequel tu es, mais la situation générale dans lequel tu es: trop peu de challenge, trop peu de mystère.

  • Bravo mon cher Thomas!

    Au lieu de te plaindre et de nous donner envie de le faire par la même occasion, tu devrais te féliciter comme je le fais actuellement.

    Ta « baisse de désir » est la preuve que tu t’es débarrassé de l’envie de coucher avec toutes les femmes (qui te plaisent) c’est ce qui explique que ta petite-amie actuelle ne te fait pas autant vibrer qu’elle aurait pu le faire il y a 3 ans.

    Maintenant, ton subconscient étant devenu pleinement adulte et beaucoup moins embué par cet ancien désir non assouvi, il vibrera beaucoup auprès de femmes qui correspondent plus à la réalisation de tes projets personnels donc qui correspondent plus à la vie.

  • Très intéressante cette demande d’éclaircissement et je crois qu’on se reconnait tous en partie.
    Personnellement, au fil du temps et des rencontres, c’est la part de H de chaque femme qui m’intéresse. Je n’ai plus ni l’énergie, ni l’envie pour séduire les femmes enfants et des princesse. Et malheureusement Tinder et Happn en regorgent.