Quatres films sur la drague… pour commencer

Je ne sais pas vous, mais rien ne me provoque plus de jubilation soudaine que de tomber sur une pépite en cherchant un trombone ; autrement dit, tomber sur une forme d’intelligence là où même les suppositions les plus optimistes n’iraient pas la chercher. D’où cette idée d’article en deux parties où je vous présente des œuvres cinématographiques – d’abord légères puis beaucoup moins – qui vous surprendront en complétant votre grille de lecture du caractère féminin (que ne vous connaissez que trop mal, voire pas du tout).
Allons-y donc pour 4 films sur la drague sans prétention aucune sinon celle de rire, mais qui recèlent au moins toutes des fenêtres bien utile pour quiconque veut décoder un peu mieux le langage des femmes.

Bad teacher

De Jake Kasdan, avec notamment Cameron Diaz et Justin Timberlake

Thèmes abordés : vénalité féminine, matérialisme, manipulation, amoralité 

N’y allons pas par 4 chemins, pris dans sa globalité, le film a l’odeur du navet bien cuit, celui qui reste au fond de la casserole de pot-au-feu et que personne ne se dispute jamais. Néanmoins, les scénaristes ont réussi à glisser dans le personnage de Diaz un degré de cynisme, d’amoralisme et de superficialité qui lui confèrent un caractère vénal et méchant absolument jouissif, hautement réaliste et surtout surprenant dans l’univers formaté de la comédie américaine où l’adultère, la manipulation et la séduction sont toujours sexuées du côté mâle (l’homme jouit et la femme souffre, c’est bien connu).

De faignante de luxe, mariée grâce à la taille de sa bouche et à l’agilité de sa langue, Diaz voit son stratagème démasqué par sa belle mère et déchoit dans la fosse des travailleurs salariés sous payés de l’éducation nationale, déchéance à l’origine d’une ribambelle de sainettes relativement réussies où son arrivisme n’a d’égal que son amoralité. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est bien sûr purement fortuite. Soit dit entre nous, j’en connais un paquet des comme ça (et c’est d’ailleurs ce qui fait l’intérêt de ce genre de films sur la drague) mais ça doit être parce que je n’ai pas de chance.

Serial noceurs

De David Dobkin, avec notamment Owen Wilson, Vince Vaughn et Rachel McAdams

Thèmes abordés : désir féminin, mensonge, statut social

Certains cherchent la rencontre one shot sur les sites de rencontre, mais eux veulent la totale : fiesta, femmes et dîners gratuits. Ils se sont donc fait une spécialité d’incruster les mariages, précisément à la recherche de ces 3 éléments. Le plan fonctionne merveilleusement bien jusqu’au jour bien sûr où ils s’emballent un peu trop et, de mensonge en mensonge, se font griller comme des bleus.

De qualité globale nettement supérieure à Bad teacher, Sérial noceurs (wedding crashers en anglais) se distingue – à mes yeux tout du moins – par son histoire secondaire, entre le 2ème personnage (le plus rond des deux) et sa copine rousse (la plus belle des deux), qui lui ment sur sa prétendue virginité pour cacher une débaucherie sexuelle à la limite de la nymphomanie. Méfiez-vous toujours des apparences, surtout lorsqu’elles tendent trop dans la direction de l’agneau blanc, et souvenez-vous de la phrase de je-ne-sais-plus-qui :

« You thin white face, with its promise of debauchery only a connoisseur could detect »

Toy boy

De David Mackenzie, avec Ashton Kutcher, Anne Heche et Margarita Levieva

Thèmes abordés : vénalité, mensonge, manipulation

Nikki et Heather tentent respectivement leur chance en même temps comme toy boy et toy girl à Los Angeles. Ils ne se connaissent pas et bien sûr le hasard va les faire se rencontrer, au café où Heather sert des pancakes et du mauvais café à l’américaine. Comme on l’imagine, après moulte scènes de chamaillerie, ils vont finir par abdiquer leur mode de vie vénal et amoral pour terminer ensemble.

Sauf que ce n’est pas du tout comme ça que ça se passe. Ils persistent à préférer l’argent facile (et le lifestyle qui va avec) à celui gagné à la sueur de son front, et le bilan des courses rappelle à qui se serait laissé berner l’espace d’un instant la dure réalité : elle finit épouse d’un millionnaire à New-York, et lui livreur de courses à domiciles à Los Angeles. A livrer la milf qui l’entretenait encore quelques semaines auparavant. Il paraît que les hommes gagnent moins que les femmes à travail équivalent. On m’aurait menti ?

In the air

De Jason Reitman, avec notamment George Clooney et Vera Farmiga

Thèmes abordés : fuck friend, double vie, lifestyle

Le dernier vu en date, même s’il n’est pas tout nouveau. George Clooney y est un cadre dont la routine consiste à se rendre à son travail tous les matins… en avion. Travail qui se déroule dans les agglomérations urbaines les plus improbables des Etats-Unis et qui consiste à annoncer à des employés qu’ils vivent leur dernier jour de salariat dans l’entreprise. La première partie du film est donc hautement inintéressante, jusqu’à la rencontre avec son homologue féminin dans un bar d’hôtel ennuyeux (rencontre au scénario d’ailleurs un peu bâclé, et qui doit donner pas mal de faux espoirs à tous les pauvres cadres encostardés qui errent tard le soir au bar de leur hôtel Accor avec un mauvais whisky en attendant vainement qu’il se reproduise). Bref, une soirée qui se termine au lit et qui « crante » (ou plutôt, ne crante pas) vers une relation de type fuck-friend. Ceux qui ont suivi le séminaire du même nom comprendront.

Forcément, l’un des deux finit par vouloir s’éprendre de l’autre au lieu de vouloir simplement la prendre, et une fois n’est pas coutume dans un scénario de film c’est… l’homme dont le niveau d’intérêt grimpe le premier (soit une once de réalisme bienvenue car, je l’ai déjà écrit dans L’homme idéal, c’est presque toujours l’homme qui s’emballe car

  • il a moins de maîtrise sur ses sentiments
  • il surestime l’importance des déclarations faites à l’horizontale, qui sont généralement le fruit de sensations purement physiques
  • il a moins d’opportunités par ailleurs (moins d’offres que de demande)

C’est donc notre George qui se retrouve au pied de l’immeuble de Vera, bouleversé à l’idée de lui faire partager tout ou partie de sa vie, et qui la voit ouvrir la porte avec son mari et ses enfants, le renvoyant à sa solitude, à ses miles et à sa collection insipide de costumes noirs.

Films sur la drague = conclusion « lourde »

Comme disait un infréquentable en son temps, « il y a toujours eu des hommes pour en exploiter d’autres et des femmes pour faire les putains ».

Stéphane

Ecrivez ci-dessous quels films sur la drague (et légers) recèlent des clefs de compréhension utiles du comportement féminin  !


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22 commentaires

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  • Cool ce topic cinéma, j’ajouterais :
    – L’homme qui aimait les femmes, de François Truffaut
    – Eyes Wide Shut, de Kubrick, pas vraiment léger mais fascinant, à voir et revoir
    – Confession d’un dragueur, le film d’Alain Soral, bien malsain lol
    – The pick-up artist, à découvrir peut-être ; un des premiers rôles de Robert Downey jr, le film doit être instructif sur son réal James Toback, qui vient de tomber avec Weinstein.
    – Hitch expert en séduction? euuh pas indispensable
    – Alfie, version Michael Caine ou Jude Law, oui ! La version filmée en somme de la putain de chanson Laisse tomber les filles de Gainsbourg https://www.youtube.com/watch?v=FWRCJhsz5t4

  • J’ai bien aimé « on the air », mais il traine en longueur.

    Sinon, dans ta critique de « toy boy », ta dernière phrase est :
    « Il paraît que les hommes gagnent moins que les femmes à travail équivalent. On m’aurait menti ? »
    Ne serait-ce pas l’inverse ?

  • Je reviens ajouter une contribution à ce poste, qui gagnerai beaucoup selon moi à être entretenu.
    Je viens de voir en ce week-end gris (comment ? Mai est gris chez vous aussi ?) « 500 jours ensemble » (500 days of summer en VO), film de Marc Webb avec le prometteur Joseph Gordon Levitt et Zooey Deschannel.
    Thèmes abordés: temps qui passe, versatilité féminine, cafard post-relation
    J’ai bien aimé ce film parce qu’il décrit une relation par séquences, en montrant au hasard des moments tirés de ces fameux « 500 jours ».
    On peut donc voir le flirt des débuts, le premier soir, le premier baiser, les premières confidences du style « je n’avais jamais dit cela à quelqu’un avant toi », mais aussi, et là c’est bien plus intéressant, les vents en pleine gueule, les disputes sans raisons, des exemples de comportement féminin totalement versatile ou irrationnel.
    Sans gâcher la fin, on peut y voir aussi la difficulté du garçon à surmonter la rupture.

    Pourquoi ce film m’a plu ? Je dirai, très hâtivement, que c’est « Annie Hall » version moderne (si vous ne comprenez pas cette phrase parce que Annie Hall ne vous évoque rien, courrez voir ce film sans demander pourquoi. On discutera après :)), à savoir pouvoir observer une relation d’un début à sa fin, et SANS forcément comprendre où, quand, pourquoi ça a cloché.
    Moravia dans « Le mépris » montre qu’on ne peut pas comprendre. Il n’y a rien à comprendre: la femme n’aime plus et vous êtes déjà mort.

  • j’adore les ajouts et conseils de films en commentaire, mais « two days in Paris » s’est révélé insupportable au bout de quelques minutes…

    En revanche, je conseille la fiche Wikipedia du film, je ne sais qui a pondu ce laïus flagorneur, que je soupçonne autoflagorneur, mais c’est énorme ^^…

  • Et bien moi non plus !! la blonde m’est vraiment insupportable !
    vers la moitié du film, je tenais plus, je suis allé directement à la fin pour voir cette scène de rupture. Mais juste avant, le mec découvre tous les mensonges qu’elle lui débitait depuis 2 jours, sous prétexte de « protéger leur relation » (faut bien être une femme pour sortir une phrase aussi mielleuse).
    Je me répète, ce film est criant de réalisme :)

  • J’ajoute à cette liste divertissante le très instructif « 2 days in Paris » de Julie Delpy avec…Julie Delpy (c’est incroyablement gonflé d’écrire un film en se donnant le rôle principal, ça me rendra pas Julie Delpy plus sympathique ;) ).
    Ce film expose la décomposition d’un couple franco/new-yorkay pendant un voyage de 2 jours à Paris, où le bel américain tout confiant ira jusqu’à rencontrer la famille de sa jolie blonde. J’ai toujours été très curieux de constater comme les voyages dynamitent les couples (et moi aussi j’y suis passé), ce film en est une merveilleuse illustration.
    Entre les assassines petites humiliations en rigolant en famille, les visites « impromptues » aux ex avec lesquels « je suis maintenant juste amie », les caprices et les disputes dont on oublie l’objet…
    Une nana insupportable et tellement vraie, un mec mené par le nez, et une scène de rupture très réaliste en clôture. Réaliste, car c’est la fille qui mets un terme, sans même pouvoir dire pourquoi, et en avouant elle-même qu’elle le regrette déjà.
    Croyez-moi, ça sent la nana au gouffre affectif (LSE pour les barbares), et il vaut mieux savoir les identifier avant de s’y casser les dents !

  • Toy boy est excellent, une partie drague directe, et la fin qui se rapproche de la phrase d’Alain Soral!
    Pour Martine, des hommes cela ne veut pas dire tous les hommes et des femmes cela ne veut pas dire toutes les femmes!
    Peut être peut-on parler de la fameuse règle des 80% – 20%?
    Mais je ne lis pas dans les pensées de Stéphane ;)
    Permet moi une question Martine, quand tu parles à une personne qui t’intéresse, te demandes-tu ce qu’ elle pense ou ce qu’ elle va penser de toi?
    Sinon un film français un peut vieux certes mais c’est une pépite à voir: » Le mouton enragé » avec Jean Louis Trintignant et Jane Birkin

  • Je suis étonné que Crazy, Stupid love ne soit pas cité.
    Pas seulement pour se délecter du goût impeccable et du ton juste de la costumière (Même si sur R. Gosling, c’est pas vraiment un des travaux d’Hercule), mais aussi par ce que certaines scènes sont l’exact mise en exemple des thèses de l’équipe de ce site.
    Par exemple cette scène ou S. Carell vient d’être pris en main par Jacob, observe une femme qui « flotte » vers lui; une Sherazade aux courbes étourdissante s’approche, le rythme devient adagio et la musique aux sonorités d’orient lui caresse le visage comme le vent d’autant. Son moment de fantasme s’achève au moment où … elle lui pose l’addition de plusieurs milliers de dollars sur la table et repart aussi tôt.

  • Une comédie que j’ai trouvé très juste : « 500 jours ensemble » avec Joseph Leonard Gordon-Levitt et Zoey Deschanel.

    Le mec tombe follement amoureux d’une fille qui joue le chaud et le froid avec lui. On se demande pendant tout le film si la demoiselle a une once de sincérité à son égard. Le comportement pathétique du mec nous ramène nos propres errances passées ou présentes.

    Il y a un sentiment de vécue dans ce qui est raconté.
    Et en plus d’établir une relation complexe et intelligente entre les deux protagonistes, le film fourmille de bonnes idées sur un plan artistique.

  • Je suis d’accord avec Emmanuel sur les noceurs, en revanche j’ai beaucoup aimé « in the air ». On voit glisser Georges vers le trou noir de minute en minute, c’est très angoissant…le parallèle entre les relations amoureuses et la relation entre Georges et ses cartes de fidélité est très bien trouvé. Jolie trouvaille. Après, cela reste du cinéma…

    Vera :  » tu es juste une parenthèse dans ma vie »
    Georges : « ….. »

    Mortel !

  • J’ai vu « Wedding Crashers » et « In the air » et mon opinion:

    « Wedding crashers »: Typique comédie américaine où les héros célibataires tombeurs de filles tombent amoureux, qui finit bien évidemment.. Je l’ai trouvé agacante , les comportements des personages complétement décalé avec la réalité, avec une morale à 2 francs.. Je ne le conseille même pas pour la scène que parle Stéphane.

    « In the air »: Bon, je n’aime pas George Cloney donc forcément je partais avec un apriori négatif. Je me suis ennuyé durant tout le film (à part en voyant la réaction des gens que le héros vire). Assez impropable: j’imagine qu’on ne paye pas aussi cher un pauvre gars chargé simplement d’annoncer un licenciement et le faire voyager autant, et au final super ennuyant.
    Je suis néanmoins d’accord avec l’analyse de Stéphane sur la relation Véra-Georges, qui au final le héros se comporte comme un adolescent de 16 ans (comportement que j’espère improbable pour un homme passé 40 ans) avec elle.

  • J’ajouterais volontiers à la liste un film français « Modern Love » qui m’a surpris par une flammèche d’intelligence là où je ne l’attendait pas.

  • Je pense que cette référence relève plus du comportement masculin, mais dans « Ce que veulent les femmes », Mel Gibson fait exactement le chemin à éviter dans la réalité.

    Il était libre et indépendant, viril et un brin macho, au début du film. Après s’être cogné la tête, il entend ce que pensent les femmes et se démène pour améliorer son image et se rapprocher de « l’homme idéal » selon elles… En fait sur 3 scénaristes, 2 sont des femmes, et il s’agit d’une réalisatrice : on a donc, par personnages interposés, une réflexion sur ce que les femmes croient vouloir !

    Bien entendu, dans la « vraie vie », vouloir à tout prix correspondre au gentil garçon servant de confident et comprenant tout ce que ces femmes doivent endurer n’a aucune efficacité en terme de séduction. Peut-être alors faut-il regarder le film à l’envers, et finir par le début.

  • je suis choqué de ceux les hommes peuvent penser des femmes ! car eux ont aussi d enormes lacunes, ceci n a meme rien a voir avec le fait d etre un homme ou une femme, c est que chaque etre humain est different et porte sur sont dos son lot !!!
    j ai 34 ans, je suis celibataire depuis deux ans, je ne suis ni moche ni un canon de beauté, mais j ai tjrs etait trop honnete et correct avec les hommes que j ai rencontrés, qu ils en ont tous bien profités a coups de couteau ds le dos, tromperie, mensonge, trahison
    comme le dcton le dit si bien
    les gens bons, sont des jambons »
    que nous soyons hommes ou femmes, nous avons tous nos peurs et nos craintes, mainteant si j ai choisi le célibat, c est parce que je n ai plus la force de recommencer une relation et je pense que bcp d hommes sont egalement dans ce cas, vous devriez nous laissez communiquer ensemble, d égal a egal, n ayant pas de photo, il n y aurait pas de seduction, juste un moyen, de communiquer nos differences et de pouvoir tous nous ameliorer
    j espere sincerement que vous prendrez ma demande en compte et que vous serez lhomme honnete qui n effacera pas ce mail, mais qui ouvrira le dialogue homme-femme, sur ce site
    cordialement
    martine

  • – ‘Whatever Works’ le dernier de Woody Allen, une perle du genre.
    – ‘Duplicity’, un navet sans précedent, dans lequel Julia Roberts n’est plus que l’ombre d’elle même, mais qui contient cependant une ou deux pépites de l’interaction homme-femme.
    – ‘Kiss kiss Bang Bang’ : un polar humoristique qui met en scène un Robert Downey Jr. pret à tout pour séduire celle qu’il n’a jamais réussi à avoir au lycée (car bien sur il était son ‘ami’ confident et elle se tapait tous le mecs sauf lui). Voici une perle du film : « …et c’est là que j’ai compris que s’apitoyer sur une personne et avoir envie de la baiser, ça fait des sacrés noeuds dans la tête. Déborder de tristesse tout en ayant une tric d’enfer, c’est malsain ? »

    ps : Le fait de souligner la fin de la phrase de Alain Soral, ça m’a mis mal à l’aise. Comme si ça dénotais un peu… d’amertume de ta part. Les internautes de ce site boivent tes paroles Stéphane, avec tout ce que ça implique…